» Il a été bien sûr très difficile de ne s’arrêter qu’à 111 parfums ! Le but n’était pas de proposer une liste consensuelle. Nous tenions à ce que la sélection reste spontanée. Il y a des absents et nous assumons pleinement la présence de certains jus pas forcément très « beaux » mais qui ont bouleversé le marché. A nos yeux, la parfumerie est un patrimoine qu’il faut défendre. Un parfum que l’on retire du marché, c’est un pan de l’histoire qui disparaît. Avec le risque qu’il ne reste bientôt plus que des jus formatés pour être vendus en masse. « 

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