Eva étouffe dans la relation  » mère-fille-photographie « . Irina Ionesco a fait poser son enfant, en l’érotisant à outrance. L’auteure se bat toujours pour récupérer les négatifs de sa nudité volée. Malgré ce traumatisme, elle cultive sa féminité et sa  » joyeuse innocence. J’ai du mal à me voir dans un miroir, mais j’aime la coquetterie sophistiquée « . Il suffit pourtant d’un rien pour la fragiliser.

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