On a testé : le bracelet de fitness

© Valentine Van Gestel

Souvenez-vous, l’année dernière, c’était la mode des podomètres. Tendance « bien-être » censée nous motiver à réaliser les 10 000 pas quotidiens nécessaires à l’équilibre physique. Succès modéré, puisque le constat après une année d’utilisation fut sans appel : la majorité des utilisateurs ont abandonné leur podomètre au placard.

L’équipe de TomTom, au départ connue pour son système GPS, s’est demandé pourquoi… Réponse : il ne faut pas forcément faire 10 000 pas -une valeur marketing et non scientifique -, l’important, c’est de bouger !

On a testé : le bracelet de fitness
© Valentine Van Gestel

Elle a donc conçu un podomètre plus complet : le TomTom Touch. Un bracelet fitness qui calcule non seulement les pas, mais aussi les calories brûlées, la distance parcourue, le temps de sommeil, la fréquence cardiaque et la composition corporelle.

En dix secondes, on connaît son pourcentage de masse musculaire et de graisse. On sait dès lors si nos efforts paient ou pas. Yey ! Pour être honnête, la première fois, j’ai attendu d’être seule pour faire le test. Même si une championne de triathlon avait assumé ses 24,5 % de masse graisseuse en me faisant la démo. L’idée que tout le monde connaisse ma composition ne m’enchantait guère.

On a testé : le bracelet de fitness
© Valentine Van Gestel

J’aurais toutefois pu le faire en public, car le TomTom Touch est un gentleman : c’est la seule information qui ne soit pas visible sur son petit écran vertical… mais transmise directement sur le smartphone, grâce à l’application ad hoc. Il suffit de pousser sur le bouton avec son index, et un petit courant électrique (totalement indolore, mais toutefois incompatible avec un éventuel pacemaker) nous traverse le corps et calcule notre « composition » (la graisse est moins conductrice que le muscle, par exemple).

Je vais taire mon résultat… mais confirmer qu’en deux semaines d’utilisation, j’ai été (très) motivée à faire évoluer ces taux. Notamment en faisant plus de vélo (même sous la pluie, c’est dire !) D’autant que j’ai pu suivre mes efforts via mon rythme cardiaque : j’ai vu clairement les moments où je pompais et ceux où l’assistance électrique était trop dosée…

On a testé : le bracelet de fitness
© Valentine Van Gestel

Des efforts récompensés sur mon bulletin (oui, je souffre du syndrome « bonne élève »). Bilan ? Certes, je bouge plus et je suis ravie d’obtenir une étoile quand j’accomplis mes 10 000 pas, mais idéalement, j’aurais aimé un bracelet plus plat (pour la discrétion) et totalement étanche (car il risque de prendre un bain, étourdie comme je suis). Et j’avoue avoir bien peur de me lasser une fois passé l’effet « attrait de la nouveauté ».

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