Un regard neuf sur les crèmes anti-âge

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Exit les crèmes anti-rides à utiliser une fois les dégâts de l’âge bien présents, bonjour les crèmes « protectrices » qui visent à ralentir l’apparition des premiers signes de vieillissement.

Protecteur

Un regard neuf sur les crèmes anti-âge
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Il est de plus en plus rare qu’une marque lance une ligne de soins : la nouvelle gamme anti-âge de Givenchy comporte d’entrée de jeu quatre préparations mettant toutes l’accent sur un ennemi moins connu de la peau, à savoir les rayons infrarouges qui, au même titre que les UV, amplifient les signes de vieillissement prématuré. Stimulé au contact de la lumière, l’actif star contenu dans la crème visage/cou va protéger les cellules de l’oxydation tout en maintenant la production de collagène. A la fois légère et intense, sa texture fondante s’applique par effleurements ascendants. Pour préparer la peau, il est conseillé d’utiliser au préalable la lotion qui favorisera l’assimilation des produits suivants.

Crème Fine Soyeuse L’Intemporel de Givenchy, 140 euros les 50 ml (en exclusivité chez Ici Paris XL).

Mimétique

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L’une des caractéristiques d’un épiderme vieillissant, c’est qu’il a de plus en plus de mal à maintenir à un niveau suffisant le taux de molécules naturellement présentes dans la peau. La piste explorée par cette nouvelle génération d’anti-âge consiste à lui apporter ces molécules dont elle manque, en particulier le collagène, qui constitue 80 % de la peau. Pierre angulaire de cette routine, le gel régénérant Resultime contient donc un collagène de synthèse capable de booster la production de celui qui se trouve in situ, mais aussi un cocktail de quatorze autres molécules dites « skin like ». L’activité de la peau ainsi relancée, il ne reste plus qu’à choisir un soin « correcteur » en fonction de ses besoins spécifiques – hydratation, fermeté, densité, cernes…

Gel Collagène Régénérant de Resultime, 55 euros les 50 ml (en exclusivité chez iU).

Combatif

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C’est l’un des pitchs classiques de l’anti-âge : partir de certaines plantes qui sont capables de résister dans des circonstances de vie extrêmes, avant d’étudier l’influence qu’un extrait de celles-ci pourrait avoir sur le vieillissement des cellules de la peau. Dans le cas de l’algue des neiges – apte à survivre par grand froid ou sous un soleil de plomb, en altitude, selon les saisons – il semblerait même qu’elle ait une action sur le gène dit de longévité, ce qui se traduit en pratique par une augmentation des propriétés antioxydantes et de la synthèse d’acide hyaluronique. Au-delà de cet effet à long terme, la crème présentée par Galénic comme « l’anti-âge absolu » matifie et affine le grain dès la première application grâce à des agents flouteurs optiques.

Crème Secret d’Excellence de Galénic, 95 euros les 50 ml (en pharmacie).

Ralentisseur

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Les adeptes du mouvement « slow » font des émules. En cosmétique aussi se distille l’idée de se préparer durablement à la vieillesse en ralentissant l’apparition des premiers signes de l’âge dus essentiellement aux UV. Les recherches menées par les laboratoires Vichy ont même permis de démontrer qu’une peau protégée de ces rayons, en particulier des UVA longs trop souvent oubliés des produits solaires, voit sa production de fibres de collagène et d’élastine augmenter ! Un effet correcteur encore dopé par la présence de trois ingrédients « santé » à savoir la racine de baïcaline – connue en médecine chinoise pour ses propriétés antioxydantes -, le bifidus dérivé de probiotiques et l’eau thermale de Vichy riche en quinze minéraux.

Fluide Slow Age de Vichy, 31,55 euros les 50 ml (en pharmacie).

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