A Bruxelles, 2017 s’annonce gourmande et gastronomique

Michel Verlinden
Michel Verlinden Journaliste

Depuis le 22 mars 2016, Bruxelles n’est plus tout à fait la même. L’âme et le coeur ont été atteints, mais le poumon économique aussi. Le secteur de la restauration a cependant su faire preuve de résilience, annonçant une année 2017 sous les meilleurs auspices.

A Bruxelles, 2017 s'annonce gourmande et gastronomique
© Getty Images/iStockphoto

On se souvient que l’an passé, plusieurs chefs avaient déjà eu le courage de ne pas laisser tomber leur fief. Ainsi de Sang-Hoon Degeimbre qui a inauguré un second San, son concept de cantine urbaine, du côté du Sablon. Pascal Devalkeneer, du Chalet de la Forêt, lui, a prouvé qu’il tenait à sa ville en ouvrant Amen, à un jet de pierre de la place Brugmann. Quant à Christophe Hardiquest de Bon-Bon, il ne ménage pas ses efforts pour que la capitale soit auréolée d’un 3-étoiles. Enfin, David Martin, qui se réinvente nippon et potager à La Paix, inaugurera prochainement une « table vivier » où déguster homards et king crabes.

Il faut également mentionner l’homme d’affaires Serge Litvine, qui soutient financièrement un grand chef comme Yves Mattagne et n’est pas étranger à l’une des étoiles engrangées par Bruxelles dans le Michelin 2017, la Villa Emily.

Impossible de ne pas évoquer également les endroits marqués par la patte de Frédéric Nicolay ces derniers mois : Angelina, Liberté, Egalité, Poulet, Oficina, Grand Central, à deux pas de Maelbeek… et bien sûr les énormes lettres posées sur un immeuble de son projet Molenbeek Hills, dont le but est de redorer le blason de la commune.

En 2017, le serial aménageur redonnera encore vie au Bravo, rue d’Alost, qui devient West End Izakaya, ainsi qu’à feu le Potemkine, qui sera transformé en resto asiatique « roots ».

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