A l’Artea : rendons à César &

Si personne ne fait d’omelette sans casser d’oeufs, j’en connais une qui, il n’y a pas bien longtemps, est devenue experte en … coquilles !

Si personne ne fait d’omelette sans casser d’oeufs, j’en connais une qui, il n’y a pas bien longtemps, est devenue experte en … coquilles ! Celle-là n’étant autre que votre serviteur, je m’empresse ici d’apporter réparation au malheureux restaurant Artea (sis au 940 de la chaussée de Waterloo à Uccle), chroniqué dans Le Vif Weekend du 6 au 12 août dernier. Fatigue aidant à la veille de vacances salutaires et chronique rédigée sur le (très) tard la veille du départ, j’avais alors indiqué que le restaurant l’Artea était auparavant appelé l’Ambriana et que son propriétaire actuel n’était autre que José Artea. Une fois de retour, délestée de ma fatigue mais aussi interpellée par un fidèle lecteur de la page Tables du Vif Weekend (merci à lui !), je me suis rendu compte avec stupéfaction de l’horrible horreur comme dirait ma copine Sido ! Bref, tout ceci pour vous dire que l’Artea était avant le notoire Ascoli (sous une autre direction) ; que l’Ambriana de la Rue Edith Cavell est effectivement un autre très bon italien aujourd’hui fermé et remplacé par La Rucola et que José Artea n’est autre que José Tarea qui prêta son nom pour anagramme à son restaurant. Enfin, last but not least, ne me reste plus qu’à présenter toutes mes excuses à cette belle maison dont je ne peux, ici comme dans le WE, que vous recommander la fraîche cuisine jouant de préparations allégées, de produits savoureux de saison (jolie petite salade fraîcheur, beau dos de cabillaud au four ou mix de poissons grillés) à déguster jusqu’à la fin de l’été au beau grand jardin-terrasse ou s’il pleut (nous sommes malgré les apparences toujours en Belgique !) à l’intérieur entouré des oeuvres photographiques de Laurent Cruyt ou de jolies sculptures de Panamarenko.

Joëlle Rochette

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