LA MAGIE MARKETING DE DISNEY

© ISOPIX / GETTY IMAGES / SDP

Voilà une affaire rondement menée. L’existence d’une solide fan base était pressentie depuis l’apparition de la première bande-annonce, en mai 2016 : à l’époque, elle avait été vue près de 92 millions de fois en moins de 24 heures. L’envie d’associer sa marque à celle d’une franchise Disney promise au succès – ce que confirment les premiers résultats du box-office – ne pouvait que conduire à des partenariats de licences bien choisis. Suivant de près l’arrivée des premières images sur les réseaux sociaux, les annonces de collab’ ont commencé à tomber. Les plus  » traditionnelles  » d’abord, des interprétations plus ou moins textuelles des codes de La belle et la bête, comme la rose, chez Uniqlo (3.), JBC (2.) et Swarovski, connu pour ses affinités avec le studio californien. Sans surprise également, la ligne dédiée à des modèles inspirés par les princesses Disney du créateur US de robes de mariée Alfred Angelo propose deux tenues estampillées  » Belle « , pour celles qui se reconnaîtraient dans le versant plus romantique que pragmatique de l’héroïne incarnée par Emma Watson. L’actrice, qui profite de la visibilité que lui offre la promo du film pour mettre à l’honneur des vêtements labellisés Eco-Age, est apparue lors d’une projection organisée par la New York Film Society for Kids habillée en Dior (1.). Confectionnée pour l’occasion, la robe en organza jaune, à la légèreté féerique, se profile comme une version moderne de la tenue de bal de Belle, rendue populaire par le dessin animé de 1991 et revisitée par la costumière du film, Jacqueline Durran. Dans un même esprit couture, le Britannique Christopher Kane propose une capsule comprenant des pièces unisexes, aussi certifiées durables par la société de consultance Eco-Age, créée et dirigée par Livia Firth.

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