Son entraîneur

Roger Lespagnard a représenté la Belgique aux jeux Olympiques plusieurs années en tant que décathlonien. C’est donc assez logiquement que ces deux-là se sont trouvés, il y a huit ans.  » Je cherchais quelqu’un pour m’entraîner aux épreuves combinées et j’ai changé de club pour que ce soit Roger, raconte la Namuroise. J’ai commencé le haut niveau avec lui, il me connaît bien. Et la manière dont il travaille me correspond, elle fait ressortir ce qu’il y a de meilleur en moi. C’est lui qui décide mais c’est un échange constant car il ne sait pas toujours ce que je ressens. La communication est la clé.  »

Sa maman

Toujours dans les gradins pour soutenir sa fille, Danièle Denisty est aussi athlète de haut niveau. En 2014, elle était sacrée championne d’Europe d’heptathlon, en masters.  » Elle s’est beaucoup impliquée pour que je puisse poursuivre mes objectifs, explique Nafi. Même si ça fait déjà longtemps que je vis seule, quand j’ai un problème, c’est elle que j’appelle car elle est toujours de bon conseil.  »

Ses managers

A travers la société Wafel Sports, Kim Vanderlinden et Helena Van der Plaetsen gèrent tout le back office de l’athlète, jonglant avec les plannings d’entraînements et les horaires d’école afin de dégager des plages horaires pour la presse et les sponsors.  » Elles ont un rôle crucial pour que je puisse me concentrer sur ce qui est le plus important : le sport et les études « , insiste la jeune femme.

Son kiné

La médaillée olympique a déjà subi plusieurs embûches, notamment une déchirure au coude, juste avant Rio, qui l’empêcha de lancer le poids et le javelot jusqu’au jour J…  » Un athlète met son corps à l’épreuve, ce qui entraîne parfois des blessures, précise la championne. C’est primordial d’avoir une équipe médicale pour continuer au mieux quand un problème survient, mais aussi pour prévenir les ennuis. « 

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