» A travers mes romans, je veux composer un hymne à mon pays.  » Miguel Bonnefoy le découvre à 6 ans. Il se souvient de l’odeur des mangues et du poisson grillé, qu’il pouvait manger avec les mains. Une liberté magique qu’il retrouve dans ses fables oniriques :  » L’Amérique latine se veut proche de la tradition orale, musicale et poétique.  » Il est l’héritier de cette terre métissée.  » Mes contes ont une couche politique « , teintée de sentiments colorés.

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