Royal Boch est sauvée

La faïencerie Royal Boch est sauvée. Le tribunal de commerce de Mons a homologué lundi la reprise de la faïencerie louviéroise par l’homme d’affaires bruxellois Patrick de Maeyer.

La faïencerie Royal Boch est sauvée. Le tribunal de commerce de Mons a homologué lundi la reprise de la faïencerie louviéroise par l’homme d’affaires bruxellois Patrick de Maeyer.

Après des mois de négociations, la faïencerie louviéroise Royal Boch est enfin sauvée. C’est le soulagement pour la quarantaine d’ouvriers en sursis depuis le 26 février dernier. Patrick de Maeyer deviendra, en partenariat avec la Région wallonne, sous peu propriétaire de la marque Royal Boch, des bâtiments et du stock de la Manufacture, déclarée en faillite en février avec 16,218 millions de dettes. Le plan de reprise prévoit de réembaucher 39 de ces ouvriers, dont l’ancienneté dépasse souvent les 30 ans. Royal Boch a produit entre autres le service polaire de la designer Nedda el Asmar.

Plutôt que de reconstruire une usine sur le site voisin des anciennes entreprises Ubell, comme il l’avait d’abord envisagé, le repreneur estime aujourd’hui plus pertinent de relancer les activités dans une partie des bâtiments historiques du site Boch-Kéramis, cernés par un vaste projet immobilier.

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Ca.L




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