Bellerose: Vingt ans après…

Certains diront qu’il avait une bonne étoile, d’autres qu’il a eu le flair et bien géré sa barque. Toujours est-il que Patrick Van Heurck est toujours là, vingt ans plus tard, avec Bellerose, sa marque inspirée des States.

Certains diront qu’il avait une bonne étoile, d’autres qu’il a eu le flair et bien géré sa barque. Toujours est-il que Patrick Van Heurck est toujours là, vingt ans plus tard, avec Bellerose, sa marque inspirée des States. Et que, malgré les rumeurs de concordat qui ont couru en mars dernier et ont été démenties depuis, la griffe casual belge se porte bien. Elle rouvrira même un concept-store, ce 10 septembre à Anvers.

Tout commence dans les années 80. Le père de la griffe débute ses activités dans le créneau de la mode en distribuant des produits Ralph Lauren. En 1988, première aventure : il crée Rue Blanche, avec une de ses cousines. Un an plus tard, rebelote : il imagine une chemise sportswear unie, à l’aspect « déjà porté », et la baptise Bellerose, du nom d’une petite ville de Long Island. Deux ans plus tard, la première boutique de la griffe est ouverte à Knokke dans un style très est-américain, avec du bois, un drapeau… Les pièces importées outre-Atlantique y côtoient les collections belges Bellerose, inspirées des basics US. En 1998, une gamme Femme verra le jour. Trois ans plus tard, une collection Enfant… Une success story de 20 ans qui méritait bien quelques roses.

F.BY.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Partner Content