Valérie Lemercier, mannequin pour Jean Paul Gaultier

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Valérie Lemercier a ouvert le défilé Jean Paul Gaultier pour présenter une collection dite « anti-jeunisme » pour des femmes « qui ne veulent pas ressembler à leurs filles de 20 ans ».

Valérie Lemercier a ouvert le défilé Jean Paul Gaultier pour présenter une collection dite « anti-jeunisme » pour des femmes « qui ne veulent pas ressembler à leurs filles de 20 ans ». Celle qui représente aux yeux du créateur « la Parisienne fofolle et légère en apparence » a fait sensation avec son apparition sur le catwalk.

C’est sur une bande de son des années 60 mixant la voix de Delphine Seyrig, qui est l’archétype de la « femme sensuelle, séduisante qui n’est pas une gamine », que le défilé a débuté. Dévoilant des mannequins coiffés de chignons volumineux souvent gris, se dévêtant lentement en défilant sur le podium, pour jeter au pied des photographes un foulard ou une veste, avant de repartir de la scène en modifiant leur tenue.

Du beau monde tels qu’Amanda Lear, Arielle Dombasle ou encore l’Américaine Nicole Richie était installé au premier rang et a ainsi pu admirer la coupe précise des trenchs et autres tailleurs pantalons dans un défilé dominé par les couleurs sombres.

People et journalistes n’étaient pas les seuls présents à l’évènement, une quarantaine de militants anti-fourrure étaient rassemblés dans la soirée devant le siège de la maison Gaultier, où se déroulait le défilé, scandant « Gaultier assassin » ou « fourrure ordure ».

Magdalena Kolaj

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