Vidéo: les nouvelles aventures de Keira Knightley pour Coco Mademoiselle

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Chanel a fait appel pour la troisième fois à son duo créatif favori, Keira Knightley et le réalisateur Joe Wright, pour son nouveau spot qui sera dévoilé ce lundi 17 mars à 14h.

Chez Chanel, les péripéties de la jolie Coco Mademoiselle se suivent et se ressemblent un peu. Contrairement à la stratégie mise en place pour créer le buzz autour du mythique N°5 en choisissant, pour chaque nouvelle campagne, une égérie différente – Marylin Monroe vient ainsi de remplacer Brad Pitt qui lui-même succédait à Audrey Tautou… -, la maison au double C a fait appel pour la troisième fois à son duo créatif favori : Keira Knightley et le réalisateur Joe Wright. Car entre ces deux-là, c’est (aussi) une histoire qui dure sur grand écran, le cinéaste britannique ayant offert à la jeune actrice certains des plus beaux rôles de sa carrière.

Dans ce nouveau spot dévoilé ce 17 mars à 14h, Joe Wright s’interroge sur ce qui pourrait bien arriver à la motarde en combinaison beige héroïne de la campagne précédente, après qu’elle ait piégé celui qui croyait l’avoir séduite.  » Nous tenions à ce que ce soit le même personnage mais dans un contexte différent, explique-t-il. Comme toujours, les aventures de Coco Mademoiselle s’appuient sur des codes Chanel très forts mais revisités : l’escalier en haut duquel elle se tient, le noir et blanc. « 

Paris s’invite aussi au détour de certains plans.  » Nous étions seuls, la Seine était à nous et nous avons attendu le soleil levant, se souvient-il. Il y avait une certaine adrénaline car nous avions peu de temps pour tourner ce que nous voulions et c’était magnifique. « 

Quant à Keira Knightley, son histoire personnelle avec les parfums Chanel a commencé bien avant qu’on ne lui propose de rejoindre la famille des ambassadeurs de la marque.  » Ma grand-mère portait Chanel N°5, rappelle-t-elle. Et moi, un ami m’avait offert Coco Mademoiselle deux ans avant ma première campagne. Jusque-là, je n’avais jamais porté de fragrance féminine car je les trouvais trop douces ou fleuries. Et soudain dans la rue, on m’arrêtait pour me demander le nom de mon parfum. J’étais hyper fière.  » On peut difficilement rêver plus beau compliment…

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