Nuit Blanche: Bruxelles l’insomniaque en lumière

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Ce 4 octobre, c’est Nuit Blanche dans notre capitale. Nancy Galand, coordinatrice de l’événement revient sur les moments « lumineux » de cette manifestation.

Quel rôle joue l’éclairage dans cette fête dédiée à la vie nocturne?

L’objectif de Nuit Blanche est d’amener le public à découvrir des parties de la ville dans lesquelles il n’ose pas s’aventurer quotidiennement. Chacun a ses habitudes et s’éloigne rarement des sentiers battus. La mise en lumière de bâtiments et d’espaces publics nous permet, pour quelques heures, de focaliser l’attention sur d’autres lieux.

Par exemple…

Cette année, le quartier que nous mettrons en avant est celui qui va des galeries royales au boulevard Adolphe Max en passant par la Monnaie et la rue Neuve. Nous avons entre autres prévu la projection vidéo d’un train fantôme dans la rue Saint-Pierre, une petite ruelle non loin du boulevard, assez glauque mais pourtant très intéressantes puisqu’elle donne accès à d’anciens cinémas comme le Variété et le Marivaux. C’est une manière d’inciter les gens à lever les yeux sur leur environnement.

S’il y avait une oeuvre lumineuse à retenir ?

La principale installation sera place des Martyrs, un très bel endroit, très peu fréquenté malgré sa proximité immédiate avec l’artère commerçante de la rue Neuve. L’artiste britannique Robert Montgomery y présentera des poèmes lumineux fait de lettres en LED.

>>> Tout le programme surnuitblanchebrussels.be

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