L’avis de Carla Bruni sur l’affaire Hollande-Gayet et…la presse belge

© Reuters

Carla Bruni s’est livrée au New York Post. Dans cet interview, l’ex-première dame française souhaite « le meilleur » à François Hollande, notant que « mener un pays » n’était pas facile. A propos de l’affaire Hollande-Gayet, l’épouse de Nicolas Sarkozy estime que si de l’argent public avait été utilisé, « ça ne peut pas être de la vie privée ».

Carla Bruni s’épanche dans la presse internationale ces derniers temps. Dans une interview à l’hebdomadaire Welt am Sonntag, elle avait ainsi déclaré ne pas vouloir « faire partie de la meute » en accablant François Hollande après la fin de sa relation avec Valérie Trierweiler, suite à sa liaison supposée avec l’actrice Julie Gayet.

Elle a cette fois répondu aux questions du New York Post sur ce sujet épineux. « Il faut comprendre qu’en France existe une loi censée protéger la vie privée », explique-t-elle au tabloïd américain. « Mais une loi de ce type n’existe nulle part d’autre dans le monde… En France, on est toujours ambivalent. On va dire ‘Oh, c’est ma vie privée’. Mais c’est de l’argent public, n’est-ce pas? Donc ça ne peut pas être privé », estime-t-elle. Avant d’ajouter que « si les magazines français ne publient pas ce genre d’articles, les magazines belges le feront, et ça sortira partout ».

La chanteuse poursuit en « souhaitant le meilleur » à François Hollande. « Mener un pays n’est pas aisé. Les temps sont difficiles. C’est bizarre, ce truc de la transparence, où n’importe qui peut vous filmer. Comme si tout le monde pouvait être un espion ».

Elle se souvient également du temps passé à l’Elysée avec Nicolas Sarkozy, en des termes plutôt directs: L’Elysée « ne me manque pas du tout! » explique-t-elle. « C’était beau, mais c’était comme un musée fantastique… J’avais l’impression d’être une invitée ».

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