Les photos de Kate interdites. Mais qui est coupable ?

Suite à la plainte déposée par le couple princier contre le magazine français Closer, pour « atteinte à la vie privée ». Le parquet de Nanterre a ouvert une enquête mardi pour déterminer qui est incriminé. La justice française a d’ores et déjà interdit mardi la cession et toute nouvelle diffusion des photos seins nus de la duchesse Kate, publiées par le magazine Closer vendredi dernier. Le site de France Télévisions ajoute que le tribunal demande la restitution des clichés « dans les 24 heures » à la famille royale britannique.

Dans un premier temps, le tribunal de Nanterre a interdit à l’éditeur Mondadori « de céder ou diffuser par tout moyen, sur tout support, auprès de quiconque et de quelque manière que ce soit, notamment sur des tablettes numériques », les photographies de Kate seins nus prises pendant leurs vacances en Provence.

Qui sont les paparazzis fautifs dans l’affaire Closer ? Une enquête préliminaire, qui doit découvrir l’identité des photographes, a été ouverte mardi. Le service saisi pour enquêter sur la publication des photos seins nus de la duchesse de Cambridge dans le magazine people Closer est la brigade de répression de la délinquance à la personne (BRDP) à Paris, selon cette source.

Dommages et intérêts

A l’audience en référé lundi soir, l’avocat du couple princier, Me Aurélien Hamelle, avait demandé l’interdiction de tout retirage du magazine Closer, de la cession ou de la diffusion « à quiconque en France et à l’étranger » des photos de la duchesse et de leur publication sur un support numérique.

Selon les services du Prince William, l’enquête préliminaire devrait elle conduire procès plus long où des dommages et intérêts seront réclamés ». Elle vise à la fois le ou les photographes qui ont pris le couple royal en photo au téléobjectif, mais aussi les médias ayant exploité ces clichés, en l’occurence Closer.

« Il va y avoir une instruction, qui va chercher à déterminer qui est celui qui a violé l’intimité de la vie privée du couple », a expliqué à l’AFP l’avocat Christophe Bigot, spécialisé dans les affaires de presse.

Weekend.be avec l’Express

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