Megan Fox, sexy… et victime de sa condition de sex symbol

A peine a-t-elle accouché que Megan Fox repart au travail. En témoigne cette couverture d’Esquire pour le numéro de février et l’interview qu’elle y donne. Quand un sex symbol manie l’art du paradoxe…

Voilà une jeune maman sexy en diable en soutif-culotte, le cheveu « sauvagement coiffé », la bouche charnue entrouverte en couverture du numéro de février du magazine américain Esquire.

Pourtant, Megan Fox profite de l’endroit pour avouer ô combien tout ce sex appeal et son utilisation par les média l’ont fait souffrir. « Cette image me dévalorisait. Parce que je n’étais rien. J’étais une image. J’étais une photo. J’étais une pose ». Dur en effet d’être un produit d’appel, comme ici par exemple. Mais on comprend mal l’utilisation du passé au vue la cover.

Et l’actrice de Transformer d’expliquer sa situation, les conséquences d’une si grande et impliquante exposition médiatique : « Ce que les gens ne réalisent pas c’est que la célébrité -qu’importe votre pire expérience à l’école, quand vous avez été victime d’intimidation de la part de 10 autres élèves- c’est aussi être malmené, mais au niveau planétaire, vous êtes persécutés par des millions de gens en permanence ». Le serpent se mordrait-il pas un tantinet la queue ?

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