Nabila, bimbo pragmatique et future égérie de shampoing

© capture d'écran YouTube

Candidate d’émission de téléréalité, elle s’est faite connaître par son « non mais allô quoi » devenu culte. Nabila, bimbo pragmatique de 20 ans – elle vient de déposé sa sortie culte à l’INPI, faisant d’elle une marque à part entière – a évoqué ses projets hier soir au cours de sa première télé, sur Canal +.

Sa phrase, plébiscitée par les internautes et déjà détournée par des publicitaires, a été déposée comme marque le 11 avril par la société de production de l’émission à l’Institut national de la propriété industrielle. « Plein de gens s’en servaient, autant la déposer comme ça cela reste ma phrase: je n’ai pas envie qu’un jour un aspirateur s’appelle ‘Allô Nabilla' ».

Mais surtout, et comme Zahia avant elle, sa notoriété fulgurante est l’occasion d’opportunités commerciales. « Enormément de marques souhaitent aujourd’hui travailler avec moi, explique-t-elle lors de l’émission, notamment des marques de shampoing et de téléphonie ». Et d’annoncer sa propre émission « où l’on me suit au quotidien, me voir réaliser mes rêves ». Autre projet possible: la suite du dépôt de marque laisse deviner une biographie titrée Allo Nabilla la vraie vie de la famille Benattia.

« J’ai peur quand je rentre dans un buraliste » « J’ai l’impression que dès qu’on fait de la téléréalité, ça signifie qu’on a pas de talent, mais pourtant on s’intéresse à moi », déclare, lucide, la jeune bimbo brune sur le plateau de Michel Denisot. Avant d’être interrogée sur ce qui pourrait expliquer en partie son succès: « Mon visage, tout est naturel, merci papa merci maman! Quant à ma poitrine, c’est un petit cadeau, à l’âge de 18 ans. »

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La vidéo de sa phrase frivole rivalise, en nombre de visiteurs sur Internet, avec d’autres buzz accidentels, comme le « casse-toi pauvre con » de Nicolas Sarkozy, ce qui confère à Nabilla une célébrité que la starlette décrit comme étant un peu étouffante.

« J’ai eu très peur quand je suis rentrée dans un buraliste, affichant une dizaine de couvertures de magazines avec ma tête, explique-t-elle. J’avais rêvé de devenir une célébrité, mais je n’en avais pas rêvé à ce point. » Non, mais son rêve n’est pas à tombé… à l’eau.

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