Se couper une frange

Alors que je surfais sur le Net à la recherche de nouveaux sites Web qui valent le clic de souris, je suis tombée sur le blog de Cut by Fred (http://cutbyfred.com), un coiffeur professionnel parisien spécialisé dans les coiffures de stars de ciné et de tops…

L’artiste capillaire cherchait un espace d’expression parallèle où exprimer son regard sur la beauté. Au détour d’une vidéo de ses prouesses esthétiques, je tombe sur celle de Daphné Hézard, rédactrice en chef d magazine L’Officiel. Qui visiblement partage la même phobie que moi :  » une grande flippée du veuch « .

Pourtant, ses cheveux à elle sont sublimes : une longue crinière châtain… qu’elle attache en chignon ! Une frange comme solution ?  » Non, cela demande de l’entretien « , s’exclame la fashion lady.  » Pas si on la garde longue « , rétorque le pro du ciseau. Tchac, frangée la miss Hézard. C’est réussi. Au point que je ressens une révélation : voilà ce qu’il me faut. Maintenant, tout de suite.

C’est LE remède à mon coup de blues hivernal. Pourtant, pour avoir déjà fait cette bêtise, je sais que le prix à payer peut-être… long (mon cheveu poussant particulièrement lentement). Cette fois, j’assure mes arrières en regardant trois tutoriels américains sur Youtube. Malgré mon équipement de seconde zone (une paire de ciseaux de cuisine et un peigne sponsorisé par un hôtel), je me lance.

J’attache mes cheveux, mouille la frange, la lisse… et coupe un bon 5 cm au niveau de la bouche, légèrement en biais. Même pas peur. Je taille dans le tas par petits coups, puis je sèche vers le bas. Comme dans les tutos. Une fois ma mèche sèche, je me souviens pourquoi je l’avais laissée pousser : mon épis. Qui divise systématiquement ma frange en deux, excepté si je la lisse chaque matin… VDM ?

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