2500 fausses Ice Watch détruites

Ce vendredi 20 mai, 2500 fausses montres Ice Watch ainsi que 5000 faux écrins Becubic iconiques de la marque, ont été écrasés à Bastogne, fief de l’entreprise belge, par un char d’assaut de résistants de la guerre 40-45.

Par cette destruction hautement symbolique de copies de ses montres à succès, le fondateur Jean-Pierre Lutgen entend lancer une déclaration de guerre contre les falsifications et affirmer sa volonté de ne diffuser sur le marché que les seules montres griffées Ice Watch. La société belge a aussi précisé que « la majorité des cas de copies, plagiats et contrefaçons ont été résolus par des conciliations et accords juridiques, dans lesquels l’anonymat des contrefacteurs est requis ». C’est pourquoi aucune des « marques » de copies n’a été montrée lors de leur destruction.

Un succès fulgurant
Dès leur lancement il y a cela 3 ans, les montres Ice Watch, qui se déclinent dans une large palette de modèles et de coloris, ont rencontré un succès fulgurant, exhibées tour à tour au poignet de people, d’hommes ou de femmes politiques, de sportifs et de « monsieur et madame tout le monde », toute génération confondue. En très peu de temps, la montre s’est imposée comme l’accessoire branché par excellence avec à ce jour, 6000 points de vente dans plus de 90 pays, de quoi attiser la mise en circulation de copies réussies ou de qualité plus médiocre. Les images de cette destruction symbolique auront aussi fait l’effet d’un joli coup de pub à l’entreprise ardennaise, véritable success story belge.

Ca.L

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