Valentine a testé: le Wavekarting

Les sensations fortes et les guiliguilis, c’est mon dada. Gamine déjà, je sciais mon monde jusqu’à ce qu’un adulte m’accompagne dans l’attraction la plus terrifiante du parc.

Toutefois, depuis qu’une mauvaise réception d’un saut de 30 mètres dans l’eau m’a fait marcher comme un canard pendant une semaine, je suis un brin moins téméraire. Un brin. Puisque lorsqu’on me parle de wavekarting, un bateau semi-rigide dont les vagues de la mer du Nord sont le terrain de jeu, ma première question est : « Ça monte jusqu’à combien ?  »  » 40 km/heure.  » Seulement ? Détrompez-vous… Sur l’eau, la sensation de vitesse est totalement différente…

Aujourd’hui, à Nieuport, la mer est calme. Trop à mon goût. Une fois la vitesse max atteinte, j’en veux plus. Je slalome, tourne de façon sèche. Yes. Me voilà maintenant à la recherche de remous dans les sillons des bateaux. Face aux vagues, je comprends l’intérêt du waverkart® par rapport au jetski : la stabilité. Je suis secouée, mais à aucun moment, je n’ai eu peur de me retourner ( ça tombe bien, mon gsm est de la partie…). Laurent Wolters, le propriétaire, confirme:  » C’est beaucoup plus safe. Surtout si on respecte les quelques règles de sécurité. Les seuls qui sont tombés à l’eau l’année dernière, c’était parce qu’ils avaient plongé…  » Quand la mer est déchaînée, on ressort toutefois aussi trempé qu’après un tour sur la Radja River de Walibi. Moi, j’ai eu l’impression d’une divine sensation de liberté, cheveux flottant au vent. À partir de quel âge on peut pratiquer ?  » 3 à 78 ans… C’est la fourchette d’âge de nos participants jusqu’à présent ». C’est décidé, je reviens cet été. D’autant que le Club House permet de profiter d’une croquette aux crevettes avec une belle vue sur le deuxième plus grand port d’Europe…

À partir de 50 euros/pers., www.wavekarting.com.

VVG