Dans l’univers de Juliette Binoche


Après un Oscar du meilleur second rôle féminin pour Le patient anglais, l’actrice française est couronnée pour son personnage de galeriste en couple avec William Shimell, qui joue un écrivain anglais.

Autre moment fort du Cannes de Juliette: la conférence de presse de lundi dernier, durant laquelle l’actrice s’est mise à pleurer en évoquant le sort de Jafar Panah, réalisateur iranien emprisonné à Téhéran.

Quelques heures plus tard, elle resplendissait sur les marches, très pro.

Elle était tout sourire lors de sa première séance photo, parée d’un ensemble Givenchy par Riccardo Tisci.

Copie conforme d’Abbas Kiarostami, avec Willima Shimell, tourné en Toscane. Elle y interprète une galeriste française qui rencontre un écricain anglo-saxon…

Le chorégraphe Akram Khan et Juliette Binoche pendant une réprésentation de leur spectacle de danse contemporaine, « In-I », à Abu Dhabi en janvier dernier. « Je ne suis pas danseuse, je n’avais donc rien à perdre! », explique l’actrice.

Se doutait-elle en 1984 d’une telle ascension? Premier grand rôle et première collaboration avec André Téchiné: Rendez-Vous.

La reconnaissance internationale avec L’Insoutenable Légèreté de l’être (1988), de Philip Kaufman, avec Daniel Day Lewis.

Dans Trois Couleurs. Bleu (1993), de Krzysztof Kieslowski.

L’année suivante, elle recevait le César de la meilleure actrice pour ce film, prix remis par Kim Basinger.

En 1997, elle obtient l’Oscar du meilleur second rôle pour le « Patient anglais » d’Antony Minghella.

Changement de look en 2006, à l’occasion de la présentation à Venise de Quelques jours en Septembre, film d’espionnage de Santiago Amigorenal.

Entre Jérémie Renier et Charles Berling, dans L’heure d’été (2008) d’Olivier Assayas.

Juliette Binoche à Cannes, pour la présentation du film de Hou Hsiao Hsien, Le Voyage du Ballon Rouge, en mai 2007.
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