Ce roman se veut une lettre de remerciement à cette maman extraordinaire,  » présente, pas réconfortante. Provocante, elle a compris qu’aimer ne signifie pas surprotéger, mais s’exposer « . Ainsi, cette héroïne – devenue thérapeute – va à contre-courant d’une époque  » déifiant les enfants. Les mères croulent sous la culpabilité, alors que la mienne prône la liberté et le droit d’être femme à 100 %. J’aimerais que les femmes se réveillent en lisant ce livre. N’a-t-on pas le droit de s’inventer soi-même ? « 

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Partner Content