Après un an sous cloche, le fait de festoyer, avec mesure ou sans limites, est devenu un sujet tabou. Et ceux qui l'envisagent, même à terme, sont pointés du doigt. Mais pourquoi a-t-on parfois besoin d'excès pour profiter de la vie? Et sont-il vertueux ou dangereux? Tentative de réponse(s).