D’un côté, nous avons Rihanna, jeune, sexy, qui ne pense qu’à faire la fête sans penser au lendemain. De l’autre, Nivea et ses valeurs familiales. Une histoire d’amour qui ne pouvait pas durer…
Stefan Heidenreich, le nouveau CEO de Nivea, a confié dans une interview au magazine allemand « Welt » que la jeune chanteuse ne correspondait pas aux valeurs de marque et que leur collaboration était arrivée à son terme. C’est un contrat très lucratif qui échappe donc à la chanteuse, qui n’a pas fort bien pris la nouvelle et a posté une photo du CEO sur son Twitter avec l’intitulé « No caption necessary' ».
« Nivea représente la famille, la confiance, la stabilité » Des valeurs qu’on ne peut pas associer à Rihanna, alors que la marque bleue veut se donner un second souffle et lance un nouveau logo.
C’est intéressant, parce que l’attitude rebelle (ou fêtarde, selon les points de vue) de la jeune femme ne date pas de ces derniers mois et que l’on peut se demander comment Nivea a pu croire qu’elle lui correspondait par le passé. Rihanna, vulgaire ou pas, était un choix très éloigné des valeurs Nivea dès le départ. L’argument semble léger.
Par contre, là où l’image de Rihanna s’éloigne certainement des valeurs familiales traditionnelles, c’est quand on tient compte des rumeurs qui la lient à nouveau à Chris Brown, son ancien petit ami condamné par la justice pour l’avoir tabassée. Ne pas se sortir d’une relation abusive, retourner auprès de celui qui vous a défoncé le visage, manqué de respect et blessée -quand on est en plus un modèle pour ses jeunes fans-, ça oui, ce n’est pas une image facilement associable à une marque. Mais il semble qu’être « vulgaire » soit plus impardonnable.
VS.
