On a spotté les 6 nouveaux restos les plus alléchants de Liège
Liège… ardente, festive, un peu folle aussi, et puis surtout gourmande, tellement gourmande! La preuve avec ces 6 nouveaux restos alléchants au possible, qui ne donnent qu’une envie: enchaîner les réservations et les découvertes culinaires.
En Neuvice, en Roture, dans le District créatif ou en bordure de ville, le paysage gastronomique de Liège n’a de cesse de se réinventer, et de continuer ce faisant à enchanter une population de gourmets exigeants, qui en attendent autant du contenu de l’assiette que de l’ambiance de l’établissement. Des attentes largement surpassées dans ces 6 nouveaux restos aussi alléchants qu’atypiques. Suivez le guide!
Olga
La Petite épicerie n’est plus, mais les gourmets n’ont même pas eu le temps de regretter sa fermeture que déjà, Olga ouvrait à sa place. Soit un bistro aux influences parisiennes revendiquées par le couple de passionnés à sa tête, Alix et Stéphane-Alexandre, déjà parents de deux petites filles et désormais, d’un troisième bébé gourmand à souhait. De ce dernier, Stéphane-Alexandre dit qu’il se divise en réalité en trois espaces distincts, entre restaurant, écailler et jardin aménagé avec des modules pour enfants. Quant à la carte « entièrement faite maison, à la fois différente et rassurante », elle va des assiettes à partager inspiration street food (servies de 12 à 19h) au lunch en passant par de crapuleux goûters. Objectif avoué: « être un vrai lieu de vie afin de toucher la clientèle la plus large possible ».
Rue Bonne Fortune 9, Olga le bistro
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Tribe
« Eat well, have fun », tel est le crédo de cet espace gourmand et festif installé dans le quartier bouillonnant de Roture, entre maisons de bouche et autres bars cultes. Ici, on vient tant pour partager des tapas allant du boeuf fumé aux rillettes de poisson que dévorer de généreux plats de pâtes, le tout, arrosé de cocktails inventifs, dont un des meilleurs Espresso Martinis de la ville. À 45 euros, l’entrecôte en croûte à la moelle de boeuf reste raisonnable, et le fait que la cuisine envoie des plats jusque 22h est suffisamment rare pour être souligné en Principauté. Une fois les dernières assiettes enlevées, cette adresse hybride à la déco sensuelle se transforme en club où l’on fait la fête jusqu’à plus soif.
Rue Roture 80, Tribe.
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Fugazi
Entre le comptoir et le bistrot, cette adresse bien pensée fait aussi le grand écart entre Italie et Amérique, avec une carte inventive et sexy qui lorgne aussi du côte de l’Hexagone, des présentations ultra soignées, un service lui aussi plutôt tardif et la patte désormais reconnaissable de Gabriel Caridi, épicurien mélomane à qui on devait déjà l’ultra festive Osteria Mio Posto un peu plus loin dans la rue. Chaque assiette est plus alléchante que la précédente, mais si vous vous limitez à une seule découverte, alors que ce soit la version Fugazi du steak au poivre (17€) nageant dans une sauce ultra canaille qui ne demande qu’à accueillir des trempettes de millefeuille de pommes de terre au pecorino (6€).
Rue Souverain Pont 34, Fugazi.
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Waliò
C’est dans le cadre industriel-chic du Val Benoît qu’a récemment ouvert Waliò, qui sert son savoureux mélange de « cucina e amore » à des prix plus que raisonnables. En cuisine, Vincenzo Calderone fait honneur à ses racines siciliennes et apuliennes et propose en 4 services (54€/pp) un voyage à la découverte du meilleur de l’Italie. Le service est attentif et chaleureux, et les assiettes, ensoleillées à souhait.
Place François Héritier 1, Waliò.
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Mezcla
Et tant qu’on parle de préparations qui réchauffent le coeur et l’estomac, cap sur la rue Neuvice et Mezcla, joyeux hybride des cuisines basques et iraniennes, où l’on savoure une carte des boissons complète et inventive, qui comprend notamment de délicieuses variations autour de l’ayran, un yaourt à boire typique de l’Iran, mais aussi de petites assiettes qui accompagnent parfaitement les breuvages sélectionnés par le couple à l’origine de l’établissement. Le dimanche, on vous défie de trouver un brunch plus réjouissant que le leur.
En Neuvice 53, Mezcla.
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Movida
Cette cantine ibérique se la joue tantôt épicerie fine, tantôt bar à tapas, à grignoter sur sa charmante terrasse où l’on se sent loin, si loin de l’agitation de la ville. Par joli temps, on pourrait presque se croire ibère loin, même, surtout attablé devant du pan am Tomaquet (4€), des moules gratinées à l’aïoli (11€) ou encore le Menu Movida et ses six services (49€) aussi gourmands que dépaysants. Envie d’une paella bonne comme là-bas? Réservez-la au préalable et régalez-vous sur place.
Rue Hors Château 43, Movida.
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Et tant que vous êtes là…
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