J’ai testé: la massothérapie daoïste

Dans la campagne d’Overijse, Coyote Legrain, auteur de la massothérapie daoïste m’accueille avec un sourire qui réchauffe instantanément le fond de l’air…

Dans la campagne d’Overijse, Coyote Legrain, auteur de la massothérapie daoïste, m’accueille avec un sourire qui réchauffe instantanément le fond de l’air. Son cabinet est à son image : un futon, des posters sur les points d’acupuncture, quelques livres ciblés, des huiles essentielles et un radiateur qui carbure pour maintenir 24 °C dans la pièce.

Tout en dégustant un thé méticuleusement choisi, il explique sa méthode qui fête ses dix ans cette année. « Sentir et faire ressentir les zones d’ouverture et de fermeture aux niveaux articulaire, musculaire, viscéral et émotionnel. J’essaie de faire le pont entre deux cultures : celle du médical et du paramédical, de l’Occident et de l’Orient. Je travaille de façon holistique, des pieds à la tête, avec les ondes, la chaleur et les vibrations. »

Il se définit comme un thérapeute énergéticien. « Comme un plombier, j’ouvre et je ferme des tas de robinets, du coeur au ventre, pour que vos énergies soient en harmonie. Mon objectif est d’amener mes patients à leur identité émotionnelle et physique. Parce qu’être conscient de ses limites, c’est une liberté. »

À la vue de ma position assise, il a su repérer mes tensions dans les épaules… et une vieille blessure de ski à la hanche que je pensais derrière moi. Bluffant. Après avoir brièvement évoqué mon histoire personnelle, sur le futon, il me fait vibrer. Premier renvoi. Sa technique pour éviter de garder le surplus d’énergie. « J’oubliais : merci de ne pas vous toucher la tête pendant la séance… ». Cause de rupture énergétique. Fin de la séance, j’ai froid. Preuve de mon relâchement total. Je me sens bien. Légère et… fatiguée. Je repars avec la certitude de revenir au prochain solstice.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Partner Content