J’ai testé: L’épilation par lumière pulsée

Pratiquée en institut de beauté, l’épilation par lumière intense pulsée est dorénavant un soin accessible chez soi. Mal informée, je pensais qu’elle avait comme finalité le fait de devenir définitive. Du coup, le Lumea Precision est resté trois mois dans mon placard ! Mais sous l’encouragement répété des copines, je me suis enfin lancée…

J'ai testé: L'épilation par lumière pulsée
© VVG

Pratiquée en institut de beauté, l’épilation par lumière intense pulsée est dorénavant un soin accessible chez soi. Mal informée, je pensais qu’elle avait comme finalité le fait de devenir définitive. Nenni. La LIP, comme l’appellent les pros, ne fait  » que  » prévenir la repousse des poils. Traduction : dès qu’on arrête le traitement, le poil réapparait de plus belle. Déception suprême. Résultat : le Lumea Precision est resté trois mois dans mon placard ! D’autant que le guide d’utilisation était aussi épais qu’un livre de poche… Mais sous l’encouragement répété des copines – désireuses de connaître le résultat de la promesse -, je me suis enfin lancée. Bonne surprise, la boîte contient un DVD qui résume les points essentiels de la machine, et m’évite l’encyclopédie sur sa prise en main.

J'ai testé: L'épilation par lumière pulsée
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MES AISSELLES SONT PASSÉES PAR UN STADE « DUNES DES POLDERS »

Je repère l’intensité adéquate à ma peau (ayant le teint clair et le poil foncé, soit les conditions idéales, je peux utiliser l’intensité la plus forte), j’apprends l’utilité de nettoyer l’embout après chaque usage et l’interdiction de tout contact direct avec le soleil durant les 24 heures suivant l’utilisation de l’appareil. Moins pratique, ce dernier aspect. Car quand je m’inflige une épilation des guiboles, généralement, c’est parce que je compte justement les exposer ! Autre détail important : il faut raser les poils avant d’utiliser l’engin. Pile ce que mon esthéticienne m’interdit de faire depuis dix ans. Dilemme. Le test se limitera donc à mes aisselles. Seule partie de mon corps que je ne peux plus épiler (suite à une réaction épidermique virulente) et qui ont le même aspect qu’une mâchoire masculine, étant contrainte de les raser quotidiennement. Un rendu moyen sexy en petite robe estivale. Surtout en fin de journée.

Lumea est prêt à l’emploi après deux heures de charge. Je pose l’embout, j’attends le signal vert pour dégainer. Tching. La lumière est vive. Zéro douleur. J’enfile une paire de lunettes avant de poursuivre. T’as le look cocotte. En cinq minutes, l’opération est terminée. Toutes les deux semaines, j’ai réitéré. Si mes aisselles sont passées par un stade  » dunes des Polders  » (des mini-touffes de poils éparses), après trois mois d’utilisation, elles sont à présent quasi imberbes et joliment lisses… Au point que j’envisage sérieusement d’élargir la technique au maillot. Pourquoi pas aux jambes ? Beaucoup trop contraignant niveau timing…

VALENTINE VAN GESTEL

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