Chez Raïssa Verhaeghe
Pensée et dessinée par les architectes de la maison, l’armoire intégrée en sapelli rythme le mur de la salle à manger.
La porte du garage est peinte en un jaune éclatant, inspiré par la palette chromatique de Le Corbusier.
Dans cette bibliothèque de style scandinave, les livres pour enfants voisinent les tomes sur la mode et l’architecture, belle synthèse familiale.
Le sac Reka Onyx siglé Caroline De Marchi, un même goût du détail. Et de l’intemporel, puisqu’il est millésimé automne-hiver 18-19.
Cette façade austère très géométrique, la maîtresse des lieux l’a toujours connue. Petite, elle habitait en face.
« C’est une petite maison mais on a ce sentiment d’espace parce qu’elle est ouverte. »
Aux cimaises, une oeuvre peinte par le père de Raïssa Verhaeghe et une photo de son frère David dans son atelier. Les chiens ne font pas des chats.
« Cinderella shoes ». Des ballerines signées AGL que Raïssa Verhaeghe porte sans relâche, par affection.
« L’idée des architectes était d’attirer la lumière. »
Sur le plan, la preuve de l’existence antérieure du noyer, contre lequel la maison vient s’accoler.
« C’est un exemple intéressant d’architecture moderniste des années 50, caractérisé par une belle répartition spatiale, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. »
Un escalier flottant mène du rez-de-chaussée au premier étage. Il est en granito, aux marches effilées, gracieuses et fonctionnelles.
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