Alors il leur offre des parures de guerrière ou de vestale avec de l’or en touche, comme autant d’éclairs de lumière, déclinés en zip, clou, rivet, au bout des derbies, à la pointe des sandales, en boucle de ceinture. Edie Campbell ouvre la valse, jupe portefeuille fendue devant asymétrique et veste affûtée, avec réminiscences militaires, on reconnaît là son style mêlé à celui d’Anthony Vaccarello, et forcément ça fonctionne à merveille. La suite se permet quelques variations sur le même thème puis s’empare du jeans, du marcel, du jersey, de la chemise et de la robe qui semble ne tenir que par ses découpes. En tout, 41 silhouettes qui définissent un vestiaire jour/nuit faussement androgyne, donc terriblement sexy.
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