Girls from Omsk meet…

Valéria Siniouchkina est en forme et multiplie les collaborations, jouant de sa patte inimitable, pour le plus grand plaisir de la génération fluo.

En 2002 déjà, pour sa collection de fin d’études à La Cambre mode(s), elle avait esquissé les contours de ses Girls from Omsk: une certaine dégaine sexy provoc’ mâtinée de streetwear universel. Depuis, Valéria Siniouchkina a creusé son sillon. Quelques prix en poche (à Hyères, en 2002, le Prix Henri Bendel et à Bruxelles, en 2007, le prix Modo Bruxellæ), un partenaire à ses côtés (l’illustrateur, designer graphique Philippe Koeune) et la voilà qui pète la forme.

Pour sa collection printemps-été 2009, elle fait voyager ses girls jusqu’à Austin-Tashkent. En parallèle, elle multiplie les collaborations en mode fluo. La première avec Kipling, pour une ligne de sacs qui va de la pochette au trolley, où l’on retrouve sa patte inimitable; la seconde avec JBC, pour une ligne de tee-shirts à messages, de sarouel, de leggings et de microrobes que les fluokids vont vénérer. Il ne faut pas avoir eu 20 ans dans les années 1980 pour trouver le tout juvénile. Et drôlement funky.

A.-F.M.

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