Gros clash à Milan

Je ne sais pas si c’est le soleil de Milan qui me joue des tours, mais il se passe un truc. Depuis les premières silhouettes de Gucci, hier, j’ai une attirance incontrôlable pour la couleur. Ou plutôt les couleurs. Celles qui débouleront l’été prochain dans nos armoires, si mon impression se confirme, en tout cas j’en ai bien envie.

Je ne sais pas si c’est le soleil de Milan qui me joue des tours, mais il se passe un truc. Depuis les premières silhouettes de Gucci, hier, j’ai une attirance incontrôlable pour la couleur. Ou plutôt les couleurs. Celles qui débouleront l’été prochain dans nos armoires, si mon impression se confirme, en tout cas j’en ai bien envie.

Ca donne un clash de différentes teintes, toutes pures, étincelantes et surtout optimistes : un magnifique magenta (ou violine ?) profond, un vert parfois menthe à l’eau-turquoise parfois émeraude, un bleu céleste (merci Wikipedia) et un rouge capucine qui mute de temps en temps en un rouge feu super étincelant, comme chez Sportmax ou n°21 (la griffe d’Alessandro Dell’Acqua). Bien sûr, il y encore et toujours du blanc, du noir et toutes ces teintes nude qui n’arrivent pas à quitter les podiums. Mais là, cette explosion de couleurs, ça attire vraiment l’oeil. D’autant plus qu’elles sont portées de façon monochrome. En tout cas, une couleur par vêtement, ce qui permet de la combiner avec une autre couleur, dans un même look. Par exemple, une chemise bleue sous une robe bustier turquoise.

Rien à faire, toutes ces couleurs donnent la pêche. Pour vous faire une idée sur la question, faites un tour sur le site Catwalk Weekend et regardez notamment es photos des shows Fendi, Gucci et Marc Jacobs (à New York), sans oublier le dernier défilé haute couture de Christian Dior, bien entendu.

Alors, avouez… C’est mieux que n’importe lequel des antidépresseurs, non ?

Catherine Pleeck

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