L’album-photos de Diane von Furstenberg
Elle a eu mille vies, Diane von Furstenberg. Quarante ans après la création de sa célèbre robe portefeuille, elle est toujours aussi princesse, chasseresse et tycoon qu’avant, la volonté d’éternité en plus.
Ce 28 février 2014, la créatrice, qui vit entre Bruxelles, Paris, New York et Los Angeles, est la rédactrice en chef invitée du Vif Weekend Black Mode. Elle y revient sur la succes story de la Wrap Dress, nous livre ses coups de coeur de modeuse, ses rêves de femmes, ses bonnes adresses de New-Yorkaise, ses recettes d’épicurienne… pour un numéro collector dédié à celle qui fut proclamée, en 1976, par le célèbre Newsweek, » femme la plus remarquable du monde de la mode depuis Coco Chanel « .
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« Moi, en 1972, assise sur un cube blanc dans ma première robe préférée au motif géométrique bleu et blanc, trois rangées de perles, une montre Bulgari et des talons hauts. C’est mon ami Roger Prigent qui a pris la photo », se souvient la créatrice.
Diane entre son père et sa mère, rescapée des camps de concentration. « Elle m’a appris qu’il ne fallait jamais avoir peur, elle ne me permettait d’ailleurs pas d’avoir peur », raconte la créatrice.
Une enfance belge pour une petite fille qui n’aimait pas ses cheveux noirs et bouclés.
Diane a 5 ans, son école bruxelloise, 75. Des bougies, un gâteau d’anniversaire et la Une du journal Le Soir.
Andy Warhol et DvF, entre deux fêtes et deux séries de sérigraphies de la créatrice.
Le 22 mars 1976, DvF fait la Une de Newsweek. L’article la présente comem « la femme la plus remarquable du monde de la mode depuis Coco Chanel ».
Diane von Furstenberg, une femme d’affaires qui, dans els années 70, sait qu’elle révolutionne le vestiaire de ses contemporaines.
Sur la carte de voeux officielle de la Maison-Blanche, en décembre 2009, la First Lady américaine, Michelle Obama, porte une Wrap Dress à motif « maillons ».
Du rose, des imprimés, une phrase comme un mantra. A Los Angeles, l’entrée de l’expo A journey of a Dress.
Deux cents robes s’exposent, à Losa Angeles, sur une armée de mannequins aux nez et pommettes Dvf.
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