La sage Lea Michele sur les plates-bandes provoc de Miley Cyrus ?

Lea Michele jouit d’une image particulièrement sage à Hollywood : un rôle de première de la classe dans une série à succès, égérie L’Oréal, jeune femme endeuillée prématurément. Mais après un shooting avec Terry Richardson, il semble bien qu’un virage sulfureux en solo soit pris.

Lea Michele, ans, est l’une des héroïnes très sages de la série ado Glee. Égérie de L’Oréal, elle a tristement fait l’actualité suite au décès par overdose de son petit ami Cory Monteith l’année passée. Pour faire court, Lea Michele incarne une figure stable, raisonnable, et pragmatique.

Est-ce ce pragmatisme qui l’a conduite devant l’objectif du sulfureux photographe américain, Terry Richardson, à la veille de la sortie de son premier album Louder.

Certes la jeune actrice avait déjà posé en 2010 pour le photographe pour une série pour le magazine GQ, façon cheerleader sexy dans les vestiaires. Elle jouait le jeu au côté de Cory Montheith et Dianna Agron. D’aucuns s’interrogent encore sur le look preppy du jeune homme assailli par ses pom pom girls archi sexy.

Ce nouveau shooting pour V Magazine en solo cette fois-ci, sonne comme une volonté de casser l’image persistante de la jeune femme éplorée. Celle que ses amis surnomment « Grand-mère », au vue de ses habitudes casanières, a décidé de se mettre à (demi) nue.

En effet, les clichés réalisés par ce dernier rappellent ceux qu’il a lui-même réalisés il y a quelques mois de la chanteuse Miley Cyrus – qui depuis ne manque pas une occasion de provoquer les « âmes sensibles » et de faire parler d’elle. L’ancienne Hannah Montana est depuis devenue une autre femme, qui elle-même sent le soufre.

Ainsi, pour V Magazine, Lea Michele pose-t-elle de manière lascive en body bleu fort échancré, sur le point de baisser sa garde, ou en robe à crochet, assise sur un fauteuil rouge sang, les jambes écartées à 180 degrés. Bien loin de la presonnalité Rachel Berry de Glee.

Quelques questions surgissent alors. Premièrement, les chanteuses sont-elles obligées d’en passer par là pour rencontrer un public plus large ? Deuxièment, Terry Richardson ne craint-il pas de se répéter un tantinet au regard de ces séries de clichés ? Enfin, la provocation peut-elle être efficace si elle est déjà vue?

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