Un magasin de câlins ouvre ses portes aux Etats-Unis
Si vous avez besoin d’un câlin ou que vous êtes en manque d’affection, voici une idée qui pourrait vous plaire. Dans l’Oregon, aux Etats-Unis, un magasin de câlins a ouvert ses portes. Inspirée par un homme avec une affiche » Free Hugs « , Samantha Hess, 30 ans a décidé de lancer son business en tant que » câlineuse professionnelle « .
Depuis son ouverture, le studio de câlins » Cuddle to Me » connait un beau succès, chaque semaine Hess reçoit plus de 10 000 demandes pour des séances de câlinage. Pour éviter tout malentendu, une liste de règles est distribuée aux clients lors de leur arrivée. « Dans notre culture, la seule expérience que nous avons avec ce genre de contact humains est souvent lié à la romance ou au sexe. Ce n’est pas toujours facile pour les gens de considéré les câlins comme strictement platoniques. » Hess explique également que certaines zones du corps sont non-autorisées. Si elle ou ses employées se sentent mal à l’aise, elles peuvent mettre fin à la session. « Si les gens viennent ici pour quelque chose de sexuel, ils ne vont pas être satisfaits de mes services ».
Les clients peuvent choisir entre différentes chambres aux thèmes divers tel que « l’espace », « la clairière », ou encore, « la plage ». Chaque pièce est munie de caméras et toutes les sessions « câlins » sont filmées, pour une question de sécurité. Le studio est également très à cheval sur l’hygiène. On demande aux clients de prendre une douche peu avant la session, d’éviter les parfums ou eau de Cologne trop agressifs, se brosser les dents et porter des vêtements propres.
Une grande partie de sa clientèle comprend des hommes souffrant de traumatisme grave ou d’handicaps qui les empêchent d’avoir des contacts humain réguliers. Une séance peut durer d’un quart d’heure jusqu’à 5h et coute 1$/minutes.
Le studio de câlin « Cuddle to Me » à séduit tellement de monde que Samantha Hess a dû engager trois employées supplémentaires. Elles ont chacune eu 40 heures d’entrainement pour prodiguer à leurs clients des câlins parfaits. Alors, à quand la reconnaissance du titre de « câlineuse professionnelle » ?
Audrey Pantano (Stag.)
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