On connaît Bouzouk en tant que maquilleur des têtes couronnées à qui la reine Mathilde, entre autres, confie son sourire depuis de nombreuses années. Fournisseur breveté de la Cour de Belgique, il officie dans son propre studio, situé dans la même bâtisse que la Maison Roger, fameux salon de coiffure de la capitale. Ancien étudiant en médecine, c’est aussi un artiste complet qui s’adonne régulièrement à la photographie. C’est en découvrant l’une de ses séries, réalisées à partir d’empreintes digitales, que Nathalie Didden, à la tête du fabricant belge de tapis du même nom, a eu l’idée de lui donner carte blanche pour décliner ce projet en plusieurs modèles pour la marque. » Le résultat est très ludique et arty, précise-t-elle. On peut les disposer au sol, bien évidemment, mais également les suspendre au mur, à la façon d’oeuvres d’art. Cinq versions exclusives de deux mètres sur deux sont nées de cette collaboration baptisée Vibration d’empreinte. Il sera aussi possible de commander sur rendez-vous son exemplaire personnalisé… à son propre doigt.
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