Certains accessoires vont comme un gant au bourgeois-bourrin. Petit inventaire.

Les vestes de la marque, originellement britannique, Belstaff. Spécialisée dans les vêtements pour motard, cette griffe devenue aujourd’hui italienne est une aubaine pour le boubour en ce qu’elle le rapproche de la figure tutélaire de Steve McQueen. Plus généralement, le bourgeois-bourrin affectionne le cuir, matière noble et animale, qu’il arbore comme un trophée.

Le jeans  » roots «  et ultramasculin griffé Nudie. En guise d’argument de vente, ce label invite ses clients à sentir l’odeur  » craft « ,  » artisanale « , de ses pantalons. Le meilleur usage ? Il consiste à l’enfiler pour réparer sa moto.

Le bracelet de force revisité, faussement racaille, vu au défilé Givenchy.

La ceinture en cuir avec boucle imposante aux initiales de la marque, comme chez Gucci ou Dolce & Gabbana. Quitte à l’acheter dans un souk à Istanbul.

La GoPro car, le boubour étant technophile, il place des caméras partout, directement reliées à son smartphone. Il possède un drone, mais surtout ne se sépare jamais de son Fitbit, objet connecté qui lui indique son niveau de performance dans la grande compétition avec les autres qu’est la vie.

La voiture est au centre de la vie boubour. Il choisit le 4 x 4 le plus gros possible, à défaut d’un modèle à plusieurs pots. Le must ? La carrosserie mat. Montant de l’option ? De 3 000 à 9 000 euros.

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