Renseignements.

Ambassade du Venezuela, 10, avenue Franklin Roosevelt, à 1050 Bruxelles. Tél. : 02 639 03 40. Fax : 02 647 88 20.

Formalités.

Passeport. Validité de celui-ci : minimum un an à partir de la date d’entrée.

Langues.

L’espagnol. Dans les endroits touristiques (comme Canaima), on parle anglais et français.

Monnaie.

Le Bolivar. 1 euro vaut 2 273 bolivars.

Vaccins.

Dans la partie amazonienne, il est recommandé de suivre un traitement contre la malaria et d’être vacciné contre le tétanos, la fièvre jaune et l’hépatite A et B. A consulter : la Travel Clinic du Centre hospitalier Saint-Pierre. Tél. : 02 535 45 05. Ou consulter un médecin spécialiste des maladies tropicales.

Téléphoner.

Facile et peu onéreux. Se procurer une carte de téléphone disponible dans la plupart des kiosques et utiliser une des nombreuses cabines réparties un peu partout. Toutes ne permettent pas les appels internationaux. Pour atteindre votre correspondant au Venezuela : + 58 suivi du numéro de votre correspondant.

Y aller.

Depuis Amsterdam : vols directs avec KLM. Depuis Paris : vols directs avec Air France. Via Londres avec British Airways.

De Caracas à Ciudad Guyana, point de départ de la route de la Gran Sabana, soit l’avion, soit des bus au départ du terminal Oriente à Guarenas. A Ciudad Guyana, location de voitures à l’aéroport.

Se loger.

Dans la partie Ouest de la Gran Sabana, le point de passage obligé est la ville de Canaima où l’on trouve un certain nombre d’hôtels et de campements plus ou moins confortables.

Campamiento Canaima en bordure du lagon. Réservation par l’intermédiaire de Hoturvensa : avenida Rio Caura, Centro Empresarial Torre Humbolt, Piso 25, P1 Urbanizacion Parque Humbolt, Caracas. Tél. : +58 2 907 80 54 ou 907 81 53. Fax : +58 2 907 80 53. Hoturvensa assure aussi le transport en avion au départ de Caracas en DC3.

A l’Est de la Gran Sabana, une route relie Ciudad Guyana, au bord du delta de l’Orénoque à Santa Teresa de Uruyen à la frontière du Brésil. Le long de cette route, on trouve de petits hôtels et campements appartenant aux Indiens.

Barquilla de Fresa, à La Escalera au km 84,5. Henri, le propriétaire et grand amateur d’oiseaux, peut organiser des excursions d’observation. L’hôtel est supervisé par la Audubon Society du Venezuela (fax au Venezuela : +58 2 991 0716).

Au milieu de la route, près de Kavanayen,H ôtel Chivaton. Tél. : +58 86 530142. On peut aussi trouver quelques chambres à la mission franciscaine de Kavanayen. A Santa Teresa de Uruyen, de nombreux hôtels et restaurants : Campamiento Ya-Koo sur les hauteurs de la ville, e-mail : yakoo@cantv.net. Villa Fairmont, avec piscine et air conditionné. Sur la rouge de l’aéroport, un nouvel hôtel avec piscine et casino : Hotel Gran Sabana. Internet : www.hotelgransabana.com

A déguster.

Viandes grillées, poissons, arepas (galettes de maïs grillées), pan casabe (pain à base de farine de manioc) ou du pabellon criollo (b£uf haché pimenté mélangé avec des oignons, du poivre vert, des tomates, de la coriandre et servi avec du riz et des haricots noirs).

Voyagistes.

Nouvelles Frontières propose deux circuits découverte pour le Venezuela. A partir de 1 799 euros. Call Center : 02 547 44 22. E-mail : callcenter@nouvelles-frontieres.be. Internet : www.nouvelles-frontieres.be

Saison idéale.

Toute l’année. Pendant la saison sèche de décembre à avril, le niveau des rivières baisse et certaines excursions en barque (comme celle vers le Salto Angel) ne sont pas toujours possibles.

A voir.

A Canaima, des excursions sont proposées vers les chutes. Certaines pouvant durer plusieurs jours. Des séjours dans des villages Pemons convertis au tourisme sont aussi possibles.

Au départ de la route de la Gran Sabana qui relie Ciudad Guyana à la frontière du Brésil : de nombreuses chutes plus ou moins imposantes. La route est également un paradis pour l’observation des oiseaux.

Il est également possible d’escalader le mont Roraima. Réserver à l’avance auprès d’une agence de voyages. De Santa Teresa, il est possible de réserver pour 2 heures un hélicoptère chez Raul Helicopter pour 4 personnes afin de se rendre au sommet du Roraima (+/- 1 300 dollars/1 095 euros).

A lire.

 » Le Monde perdu « , par Arthur Conan Doyle ;  » Venezuela « , guide Lonely Planet (en anglais).

Reportage : Michel et Gabrielle Therin-Weise n

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