Piaget, Invitation à la fête

Barbara Witkowska Journaliste

Limelight Party, la nouvelle collection de bijoux et de montres Piaget est ludique, flamboyante et festive. Elle nous entraîne dans une fête enivrante, étincelante de mille et une lumières. Jusqu’au bout de la nuit.

Entrons donc dans la fête… Pour commencer, le diamant se métamorphose en dentelle. Ses arabesques chatoyantes se posent à fleur de peau, subliment le galbe sensuel d’un cou et allument des étoiles au fond des yeux. Lorsque le champagne se met à couler à flots, l’ambiance se fait légère et joyeuse. Des bulles rondes, des gouttes délicates de diamants pétillent gaiement sur la courbe d’une épaule, au creux d’une nuque et le long d’un poignet. Glissée autour d’un doigt, une somptueuse topaze ovale, entourée de quatre saphirs violets taille poire, lance des milliers d’étincelles. Puis la lumière vive et éclatante entre en scène et s’amuse avec les facettes polies de l’or blanc qui, tels des miroirs, reflètent la magie de la soirée. Enfin, les feux d’artifice jaillissent en une explosion de couleurs. Diamants, rubis, saphirs et émeraudes dessinent dans l’espace un jeu féerique et envoûtant.

Un brin extravagante mais délicieusement féminine et ludique, la collection Limelight Party ouvre un nouveau chapitre dans l’histoire festive de la maison Piaget. Souvenez-vous de Possession. Son concept original nous convie à l’amusement et au sourire, avec cet anneau d’or qui tourne inlassablement entre deux anneaux d’or fixes et évolue dans un jeu de mouvement, à la fois très possessif et très libre.

L’un des tout premiers bijoux ludiques, la bague Possession est vécue, par celles qui l’ont adoptée, comme un gri-gri mobile qu’on fait glisser, à tout moment, entre ses doigts. Au départ dodu et généreux, le modèle n’a cessé d’évoluer. Au fil du temps, la bague s’est affinée et épurée, avec des volumes actuels, des arêtes plus nettes, des proportions plus modernes et des surfaces plus planes. Elle a adopté, aussi, une pluie de diamants et a accueilli, enfin, une  » s£ur « , une montre éponyme conçue selon le même principe. Le boîtier est équipé d’un anneau d’or plat qui tourne sans fin autour du cadran. Ce bijou horloger s’orne de trois chiffres arabes, reliés entre eux dans un mouvement spontané et infini. Le temps devient un jeu. L’idée a séduit Marie Gillain. Obligée de jongler parfois avec des plages horaires difficiles, elle aborde le temps avec légèreté età joue les ambassadrices de Piaget.

Barbara Witkowska

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