Els Pynoo, de Vive la Fête, rêve de George Clooney (et de boulettes sauce tomate)
Els Pynoo a passé ces vingt-cinq dernières années à ambiancer les scènes avec Vive La Fête, le groupe qu’elle forme avec Danny Mommens. En pleine tournée anniversaire, la plus pétillante des chanteuses belges répond à nos questions sur le vif.
La question qu’on vous pose le plus souvent ?
« N’est-ce pas difficile de travailler et vivre avec votre partenaire? » Et je réponds toujours que, pour nous, c’est l’évidence même parce que dès les débuts de notre couple, on a fait de la musique ensemble. Ce n’est pas parce qu’on marie vies professionnelle et privée que c’est forcément étouffant : la clé est de laisser à chacun l’espace dont il a besoin et de respecter sa manière de fonctionner.
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Le sport que vous pratiquez… en pensée ?
La danse classique ! J’adore l’élégance des mouvements des danseuses, comme si elles n’étaient pas soumises aux lois de la gravité, c’est incroyable à regarder. Je rêverais de danser le Lac des Cygnes.
L’endroit dont vous n’êtes jamais revenue ?
Plus jeune, j’allais en vacances avec mes frères et sœurs et nos parents à Alicante, dans une maison qu’ils louaient en plein milieu d’un verger d’oranges. Je ne pourrais plus y retourner aujourd’hui, parce que mes parents ne sont plus là et ce ne serait pas la même chose sans eux, mais j’ai laissé un petit bout de mon cœur sur place.
La célébrité avec laquelle vous aimeriez partager un repas ?
C’est très cliché, mais une fois, j’ai rêvé de George Clooney, avec qui j’avais une conversation fascinante, et j’aimerais voir s’il est aussi intéressant en vrai.
Le plat qui vous ramène en enfance ?
Les boulettes sauce tomate avec des frites ou de la purée de pommes de terre. On mangeait toujours ça le dimanche chez mes grands-parents, mon papy les préparait incroyablement bien, avec énormément d’amour qui se goûtait à chaque bouchée.
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La chose la plus folle que vous ayez faite ?
Pas simple de répondre à chaud, il y en a tellement… Mais je dirais la fois où j’ai survolé Monaco en hélicoptère. C’était très impressionnant, la rapidité et la liberté de mouvement donnaient un peu l’impression d’être une mouche !
Un métier que vous auriez pu exercer ?
Ado, je voulais partir à New York pour devenir actrice. Je ne l’ai jamais fait parce que je trouvais ça égoïste de m’en aller si loin en laissant ma famille derrière. Mais parfois, même si je suis très heureuse de la vie que je mène aujourd’hui, je regrette de ne pas avoir tenté ma chance.
Ce qui vous saoule vraiment ?
Les gens qui médisent. Je ne supporte pas les hypocrites qui prétendent être gentils pour mieux vous cracher dans le dos : si on a quelque chose à dire, il faut oser le dire en face.
Un mot pour vous décrire ?
Têtue.
Votre achat le plus bizarre ?
J’habite une ferme avec beaucoup d’animaux : peut-être que pour d’autres personnes, acheter un âne ou un cochon est étrange, mais pour moi, ce n’est pas bizarre.
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L’appli que vous utilisez le plus ?
Aucune ! Je ne comprends pas que les gens puissent passer autant de temps sur leur téléphone. J’ai un smartphone, mais je ne l’utilise que pour téléphoner et prendre des photos, que je ne partage pas en ligne.
Ce que vous aimeriez faire là, tout de suite ?
Me balader dans le Grand Canyon. Depuis que je suis toute petite, je suis fan de vieux westerns et j’adorerais découvrir la région en vrai.
Portrait: Titus Simoens
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