Lufy lance sa collection pour LolaLiza (et met une couleur surprenante à l’honneur)
Lufy, animatrice de l’Internet Show sur Tipik est passionnée de mode. Ce 26 octobre, elle lance sa première collection avec LolaLiza, une marque à laquelle elle est fidèle depuis l’adolescence. Cette ligne « cosywear » est toute à son image. Elle répond à notre interview sur le vif.
La question qu’on vous pose le plus souvent?
Pour le moment: «Elle sort quand ta collection pour LolaLiza?» Moi-même, j’ai longtemps eu hâte de voir arriver en boutique ces pièces de cosywear que j’ai voulues à mon image. Ce sont des vêtements que l’on pourrait trouver dans ma garde-robe. Je pense notamment au manteau en teddy bleu clair. J’en cherchais un depuis longtemps et là, j’ai pu lui donner vie jusque dans les moindres détails.
Le sport que vous pratiquez… en pensée?
Je rêverais d’essayer le pilates reformer, cette méthode de renforcement musculaire douce qui se pratique sur une sorte de chariot coulissant sur des rails. Ça a l’ait vraiment fun. Mais je n’ai pas encore trouvé de lieu près de chez moi pour essayer. Alors, je me contente de regarder des vidéos.
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L’endroit dont vous n’êtes jamais revenue?
J’adore voyager et je pars dès que je peux le faire. Et je choisis des destinations exotiques, au soleil parce que j’ai horreur du froid. Mais il y a quelques années, mon mari m’a emmenée en Laponie, avant Noël. C’était complètement hors du temps: là-bas, il fait nuit à 14 heures, tout votre quotidien s’en trouve bouleversé. Il faut se créer de nouvelles habitudes dans un lieu totalement féerique.
La célébrité avec qui vous aimeriez dîner?
Je ne suis pas un fan girl dans l’absolu. Si je suis fan, c’est plutôt de séries, en particulier Desperate Housewifes dans laquelle joue Eva Longoria. J’ai eu la chance de la rencontrer à Londres où elle m’a remis mon trophée YouTube du million d’abonnés. Elle est chaleureuse, drôle. Sans hésiter, oui, j’aimerais passer une soirée avec elle.
Le plat qui vous ramène en enfance?
Des pâtes, en bonne Italienne que je suis. Mais une en particulier que mes parents préparaient souvent lorsque j’étais enfant: la pasta al forno, un gratin dans lequel chaque famille met ce qu’elle veut. Chez moi, on y mélangeait sauce tomate, œufs durs, jambon et petits pois. Un délice que je devrais faire plus souvent.
« Je rêvais d’un manteau en teddy bleu »
Sa communauté en rêvait. C’est désormais chose faite. Ce 26 octobre la première collection mode de Lufy sort en boutique et sur le web. Une ligne cosywear toute à son image qui regroupe neuf pièces et deux accessoires. La jeune femme a travaillé plus d’un an sur ce projet, en soignant les moindres détails. Alors qu’on aurait pu s’attendre à une ligne aux couleurs de l’automne, Lufy crée la surprise en mettant à l’honneur ses couleurs favorites : du beige, du crème, du gris clair… mais aussi un bleu pastel qui assure-t-elle apportera une touche de peps.
« J’ai eu totalement carte blanche, nous confie-t-elle. Je me suis demandé ce que j’aimais porter pour me tenir chaud… même lorsque l’on baisse le thermostat de quelques degrés pour économiser l’énergie. Toutes les pièces de ces quatre looks sont réalisées dans des matières fluides qui ne se chiffonnent pas. »
Lorsque la marque LolaLiza l’a contactée, Lufy y a vu un signe du destin. « J’aimais l’idée de travailler avec une marque belge. Surtout que dans ce cas-ci, j’ai une vraie histoire personnelle avec elle puisque je faisais déjà du shopping dans leur boutique de Waterloo lorsque j’étais ado. Je l’ai vraiment vue grandir et évoluer. »
Lufy a tenu à ce que certaines pièces restent accessibles – on pense notamment à la casquette à 19,95 euros qui risque d’être très vite sold out – et que les vêtements soient les plus inclusifs possibles en proposant des taille allant du 36 au 50.
Son coup de coeur? « Le manteau en teddy bleu! C’est la première pièce qui j’ai créée. J’adore les manteaux en teddy mais je n’en trouvais nulle part dans cette couleur bleu pastel. J’en suis particulièrement fière ». Petit détail amusant pour les fans : sur certaines pièces, on retrouve un petit logo représentant des cornes de cerf : une référence à sa communauté que Lufy appelle souvent « mes petites biches »
Collection allant du 36 au 50, disponible en boutique à Bruxelles et en Wallonie et sur lolaliza.com
La chose la plus folle que vous ayez faite ?
J’ai vécu un tas d’expériences fantastiques parce que j’ai osé tout miser sur mes vidéos YouTube il y a douze ans. J’ai commencé sans savoir de quoi le lendemain serait fait, personne n’imaginait alors que l’on pourrait en faire un métier. On nous voyait un peu comme des extraterrestres. Pour se lancer, il fallait vraiment croire en soi.
Un métier que vous auriez pu exercer?
Si j’avais suivi la voie de mes études, j’aurais pu devenir traductrice-interprète. Aujourd’hui, si je devais tout recommencer à zéro, je me verrais plutôt dans un métier en prise directe avec la nature et les animaux. J’ai déjà des biquettes, deux chiens et des poules. C’est un bon début.
Ce qui vous saoule vraiment?
Ce qui me prend vraiment aux tripes, ce sont les manœuvres des personnes manipulatrices. J’ai un radar pour les repérer.
L’appli de votre smartphone qui est le plus souvent ouverte?
En ce moment, mes mails, car je mène beaucoup de projets de front. Pour la collection, il y a eu tellement de petits détails à peaufiner.
Un mot pour vous décrire?
Loyale. Envers les gens auxquels je tiens. Mais aussi vis-à-vis de mes valeurs. Toutes mes décisions, tant privées que professionnelles, passent par le prisme de ce qui est important pour moi. Je veux toujours pouvoir me regarder dans une glace.
Votre achat le plus bizarre?
Quand je faisais des vidéos «challenge» avec Enzo, mon mari, on avait besoin d’accessoires chelous. J’en ai plein mon grenier, une vraie caverne d’Alibaba. Les plus farfelus: un masque en silicone en tête de cheval grandeur nature et un costume de lapin géant.
Ce que vous aimeriez faire, là, tout de suite?
Ça fait trois semaines que j’attends ça: manger un bon paquet de frites. Mais c’est notre tradition du vendredi, donc il me faudra attendre jusqu’à demain.
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