A deux, c’est mieux. Et si c’est à trois, c’est encore mieux. Victoria Feldman et Tomas Berzins ne démentiront pas, qui se sont rencontrés sur les bancs de l’école parisienne Esmod et ont fini par se marier l’année dernière après avoir lancé leur collection de prêt-à-porter Femme appelée de leurs deux prénoms liés par un slash, c’était en 2012. Prenez donc ce duo aux origines russes et lettones, qui vit, travaille et défile désormais dans la Ville lumière, puis additionnez-le à la maison Chantelle et vous aurez un vestiaire de douze pièces de lingerie à haut potentiel. Car la créativité des premiers associée au savoir-faire de la deuxième s’incarne en body, brassière et culotte Soft Stretch sans couture et donc invisible, à taille unique et extensible pour mieux s’adapter aux corps et à leur belle singularité. Cette première collaboration prouve que la vénérable maison française, dont l’arbre généalogique remonte à 1876, sait comment lifter ses innovations techniques. Si en 1949, elle pouvait se vanter d’avoir inventé  » la gaine qui ne remonte pas « , aujourd’hui, elle crée des dessous seconde peau et offre une carte blanche à des jeunes gens contemporains qui y insufflent leur culture urbaine, teintée de hip-hop, d’influence timburtonienne et de goût affiché pour les formes sculpturales. A afficher sans détour, comme ça nous chante.

www.chantelle.com et www.victoriatomas.com

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Partner Content