Ils nous racontent cet éclair de lucidité qui a bouleversé le cours de leur existence

© Maroesjka Lavigne
Kathleen Wuyard

Il y a des moments dans la vie où, soudain, l’on se rend compte que tout doit changer. Face à cette prise de conscience, certains se taisent, par peur d’un bouleversement trop chavirant, ou fuient et se cachent. D’autres déploient leurs ailes et prennent leur envol pour planer au gré du vent…

Guy Mouchaert, Agriculteur bio et entrepreneur

Voici plusieurs années, Guy Mouchaert et son épouse, Leen, ont acheté et rénové une ancienne ferme, sans utiliser alors le terrain agricole adjacent. C’est comme si tout était écrit, déjà à ce moment-là. Mais dans l’esprit de notre homme, ce n’était pas encore si clair… Pendant deux décennies, il travaille dans le monde de l’entrepreneuriat, avec succès. Il fonde sa propre société à Bruxelles, gagne bien sa vie et développe un vaste réseau professionnel.

Guy Mouchaert
Guy Mouchaert© MAROESJKA LAVIGNE

« Soudain, j’ai eu la sensation que je m’étais perdu, se rappelle Guy. Les valeurs que j’avais développées pendant toutes ces années ne correspondaient plus à ce que j’étais devenu. J’étais comme coincé dans un rôle que je jouais. Un jour, alors que je cueillais des cerises dans mon jardin, je me suis dit: « Il est temps. » Et peu après, j’ai quitté ma propre boîte pour suivre une formation d’agriculteur biologique. J’ai fait un stage et j’ai commencé à travailler la terre autour de ma maison, que j’avais louée pendant tout ce temps à un ami agriculteur. J’avais déjà la fibre entrepreneuriale dans le sang. Le fait d’y associer mes connaissances croissantes en agriculture biologique sonnait comme une révélation. »

Mais avant de se lancer, il élabore un business plan, examine la faisabilité financière et pratique du projet, s’informe dans autant de domaines que possible et développe un réseau au sein duquel il recueille une multitude d’informations. Les grandes étapes sont clairement définies. « Et pourtant, je devais être ouvert à l’inconnu », explique Guy. Tout comme le reste de la famille… Ses enfants ont soudain vu leur père plonger ses mains dans la terre et cette vision ne les enchantait guère. Peut-être cernaient-ils déjà que leur paternel risquait de franchir ses limites… Ce qui s’est effectivement produit, son corps ne pouvant supporter davantage de labeur physique. Heureusement Guy a récupéré, a ajusté ses plans et continué à cultiver.

Dès que j’ai commencé à travailler dans la ferme, les valeurs ancrées au plus profond de moi ont refait surface.

Guy Mouchaert

Aujourd’hui, un arc-en-ciel de fruits et légumes illumine la parcelle de terre de l’agriculteur, qui a attendu si longtemps pour être labourée. « Pendant des années, je n’étais pas prêt à voir ce qui me convenait vraiment en tant qu’être humain. C’est tout un processus d’accepter qu’il existe une autre voie que celle que vous suivez machinalement depuis des années. Dès que j’ai commencé à travailler dans la ferme, les valeurs ancrées au plus profond de moi – intégrité, honnêteté et authenticité – ont refait surface, plus fortes que jamais. Ça m’a permis de construire des choses, mais aussi d’oser échouer. Personne ne peut aller de l’avant sans reculer de temps en temps. C’est la vie. Mais si vous savez que tomber vous permet de mieux vous relever, alors, vous tomberez avec plus de plaisir, n’est-ce pas? Parfois, il faut savoir bosser de manière acharnée. Parfois, il faut savoir renoncer. Si vous refusez cela, ne vous plaignez pas de la tournure que prend votre vie. Avancez, tout ira bien, tant que vous restez en phase avec qui vous êtes réellement. »

Bart De Coninck, Thérapeute et directeur de la Reconstructive School Belgium

« Chaque crise est une opportunité de grandir, promet Bart De Coninck. Il suffit, alors, de trouver le courage d’affronter les aspects les plus sombres de sa personnalité. Et c’est parfois difficile. » Lui-même s’est familiarisé avec cet exercice. A la trentaine, il vivait sa meilleure vie, en toute insouciance. Diplôme de médecine en poche, il oeuvrait comme généraliste à Bruxelles. Jusqu’à ce que les lumières s’éteignent… et qu’il abandonne son stéthoscope pour s’installer à Anvers.

Bart De Coninck
Bart De Coninck© MAROESJKA LAVIGNE

« Ma vie avait besoin d’être bousculée, raconte-t-il. A l’époque, je ne savais pas encore précisément comment m’y prendre pour la chambouler. Le monde de la thérapie m’attirait. J’ai alors suivi des formations et commencé à pratiquer comme thérapeute. Tout se passait bien, pourtant, je sentais que quelque chose clochait encore. » C’est aussi à ce moment-là que naît son fils… ainsi que des relations conflictuelles avec la mère du garçon, qui se terminent devant les tribunaux. Une période sombre, qui dure des années. Il comparaît régulièrement devant la justice, ne peut plus voir son enfant. Il rencontre alors Job, son partenaire actuel. Et il revit.

L’étincelle qui lui manquait encore, alors qu’il ne s’y attendait plus, viendra finalement de son avocat: « Il m’a appris à m’échapper de mes propres drames, de mes préjugés, à prendre position efficacement et à adopter une approche claire. Il m’a offert ce que je n’avais encore trouvé dans aucun cours pour devenir thérapeute. Il y a eu une décision du juge et j’ai été autorisé à revoir mon fils. Je me suis senti apaisé et j’ai décidé de commencer à vivre. »

Trouver sa voie n’est pas tant une question d’illumination que de cheminement.

Bart De Coninck

Et à partir de là, tout s’est aligné pour Bart, qui a rencontré Carola Castillo, la fondatrice de la « Reconstructive Integrative Holistic School ». La manière transpersonnelle dont elle voit le conseil psychologique et le développement personnel résonne avec tout ce qu’il a toujours recherché. Bart devient son apprenti, ouvre le département belge de l’école Reconstructive quelques années plus tard, bouleverse le monde de la thérapie belge et mène, depuis, une brillante carrière dans ce domaine, avec Job à ses côtés.

« Sans le processus de recherche préliminaire, je n’y serais pas arrivé, explique-t-il. Il faut d’abord se remettre en question complètement pour parvenir à faire le point, toujours dans le respect bien sûr. Cela prend du temps. Trouver sa voie dans la vie n’est pas tant une question d’illumination que de croissance, de cheminement… C’est tout un art d’apprendre à gérer les crises de manière mûre et consciente. C’est à partir de ce mouvement que l’on peut devenir lucide sur son propre potentiel et se mettre au travail. La vie ne nous apportera jamais ce que l’on attend, mais les chemins que l’on peut emprunter sont innombrables et parsemés de surprises, bonnes ou mauvaises. C’est à nous de nous y ouvrir et de les embrasser. »

Guy Mouchaert, Agriculteur bio et entrepreneur

Voici plusieurs années, Guy Mouchaert et son épouse, Leen, ont acheté et rénové une ancienne ferme, sans utiliser alors le terrain agricole adjacent. C’est comme si tout était écrit, déjà à ce moment-là. Mais dans l’esprit de notre homme, ce n’était pas encore si clair… Pendant deux décennies, il travaille dans le monde de l’entrepreneuriat, avec succès. Il fonde sa propre société à Bruxelles, gagne bien sa vie et développe un vaste réseau professionnel.

Guy Mouchaert
Guy Mouchaert© MAROESJKA LAVIGNE

« Soudain, j’ai eu la sensation que je m’étais perdu, se rappelle Guy. Les valeurs que j’avais développées pendant toutes ces années ne correspondaient plus à ce que j’étais devenu. J’étais comme coincé dans un rôle que je jouais. Un jour, alors que je cueillais des cerises dans mon jardin, je me suis dit: « Il est temps. » Et peu après, j’ai quitté ma propre boîte pour suivre une formation d’agriculteur biologique. J’ai fait un stage et j’ai commencé à travailler la terre autour de ma maison, que j’avais louée pendant tout ce temps à un ami agriculteur. J’avais déjà la fibre entrepreneuriale dans le sang. Le fait d’y associer mes connaissances croissantes en agriculture biologique sonnait comme une révélation. »

Mais avant de se lancer, il élabore un business plan, examine la faisabilité financière et pratique du projet, s’informe dans autant de domaines que possible et développe un réseau au sein duquel il recueille une multitude d’informations. Les grandes étapes sont clairement définies. « Et pourtant, je devais être ouvert à l’inconnu », explique Guy. Tout comme le reste de la famille… Ses enfants ont soudain vu leur père plonger ses mains dans la terre et cette vision ne les enchantait guère. Peut-être cernaient-ils déjà que leur paternel risquait de franchir ses limites… Ce qui s’est effectivement produit, son corps ne pouvant supporter davantage de labeur physique. Heureusement Guy a récupéré, a ajusté ses plans et continué à cultiver.

Dès que j’ai commencé à travailler dans la ferme, les valeurs ancrées au plus profond de moi ont refait surface.

Guy Mouchaert

Aujourd’hui, un arc-en-ciel de fruits et légumes illumine la parcelle de terre de l’agriculteur, qui a attendu si longtemps pour être labourée. « Pendant des années, je n’étais pas prêt à voir ce qui me convenait vraiment en tant qu’être humain. C’est tout un processus d’accepter qu’il existe une autre voie que celle que vous suivez machinalement depuis des années. Dès que j’ai commencé à travailler dans la ferme, les valeurs ancrées au plus profond de moi – intégrité, honnêteté et authenticité – ont refait surface, plus fortes que jamais. Ça m’a permis de construire des choses, mais aussi d’oser échouer. Personne ne peut aller de l’avant sans reculer de temps en temps. C’est la vie. Mais si vous savez que tomber vous permet de mieux vous relever, alors, vous tomberez avec plus de plaisir, n’est-ce pas? Parfois, il faut savoir bosser de manière acharnée. Parfois, il faut savoir renoncer. Si vous refusez cela, ne vous plaignez pas de la tournure que prend votre vie. Avancez, tout ira bien, tant que vous restez en phase avec qui vous êtes réellement. »

Elodie Wilmès, Wedding planner, fondatrice de Love & Tralala

La scène a beau s’être produite il y a près de dix ans, Elodie Wilmès, alias elodielovetralala pour ses plus de 15.000 abonnés sur Instagram, la raconte toujours avec une note d’incrédulité dans la voix. C’est qu’ils ne sont pas nombreux ceux qui, alors qu’on leur propose une promotion après 18 mois de travail seulement, la refusent, et démissionnent dans la foulée. Et pourtant, c’est exactement ce qui est arrivé à celle qui est aujourd’hui une organisatrice de mariages prisée, doublée d’une décoratrice florale au style romantique. Une carrière qu’elle s’est créée en empruntant des chemins de traverse après de brillantes études de droit, menées de front avec un Master en création d’entreprise, et des débuts prometteurs dans un cabinet spécialisé en droit des affaires. « J’ai décroché un boulot dès la fin de mes études, et après un an et demi, le patron de mon cabinet m’a convoquée pour me dire qu’il était super content de moi, et voulait m’augmenter mais aussi m’offrir le Master en droit fiscal pour que je puisse me spécialiser. » Une proposition que la plupart de ses camarades de promotion auraient acceptée sans hésiter, mais Elodie, elle, s’est entendue répondre: « En fait, je démissionne. »

J’ai trouvé une autre manière d’aider les gens, en mettant de la magie dans leur vie.

Elodie Wilmès
Elodie Wilmès
Elodie Wilmès© MAROESJKA LAVIGNE

Une déclaration qui l’a prise autant par surprise que son interlocuteur, néerlandophone, qui lui a demandé de répéter pour être certain d’avoir bien compris. « Je me suis vue en burn-out à 40 ans si j’acceptais, et c’est sorti tout seul », confie Elodie. Passé le premier choc et l’incompréhension de ses proches, la Bruxelloise accepte un mi-temps de serveuse le temps de retomber sur ses pattes, puis une formation Awex au Canada, où elle découvre l’univers des blogs et commence à rêver sa nouvelle carrière. « J’ai réalisé que d’autres filles avaient changé de vie grâce à leur blog, et je me suis dit « pourquoi pas moi? » J’avais toujours adoré écrire et l’envie de bosser dans l’événementiel me taraudait, donc j’ai lancé mon blog dédié aux mariages romantiques et atypiques. » Un passage en couveuse d’entreprise plus tard, Love & Tralala était né, et aujourd’hui, celle qui se décrit comme une « amoureuse des amoureux » n’a aucun regret. « Quand je vois certaines copines avocates, ça me confirme que cette carrière n’était pas faite pour moi. J’ai trouvé une autre manière d’aider les gens, en mettant de la magie dans leurs vies, j’ai l’impression d’être une fée. » Enfin sur le droit chemin.

Bart De Coninck, Thérapeute et directeur de la Reconstructive School Belgium

« Chaque crise est une opportunité de grandir, promet Bart De Coninck. Il suffit, alors, de trouver le courage d’affronter les aspects les plus sombres de sa personnalité. Et c’est parfois difficile. » Lui-même s’est familiarisé avec cet exercice. A la trentaine, il vivait sa meilleure vie, en toute insouciance. Diplôme de médecine en poche, il oeuvrait comme généraliste à Bruxelles. Jusqu’à ce que les lumières s’éteignent… et qu’il abandonne son stéthoscope pour s’installer à Anvers.

Bart De Coninck
Bart De Coninck© MAROESJKA LAVIGNE

« Ma vie avait besoin d’être bousculée, raconte-t-il. A l’époque, je ne savais pas encore précisément comment m’y prendre pour la chambouler. Le monde de la thérapie m’attirait. J’ai alors suivi des formations et commencé à pratiquer comme thérapeute. Tout se passait bien, pourtant, je sentais que quelque chose clochait encore. » C’est aussi à ce moment-là que naît son fils… ainsi que des relations conflictuelles avec la mère du garçon, qui se terminent devant les tribunaux. Une période sombre, qui dure des années. Il comparaît régulièrement devant la justice, ne peut plus voir son enfant. Il rencontre alors Job, son partenaire actuel. Et il revit.

L’étincelle qui lui manquait encore, alors qu’il ne s’y attendait plus, viendra finalement de son avocat: « Il m’a appris à m’échapper de mes propres drames, de mes préjugés, à prendre position efficacement et à adopter une approche claire. Il m’a offert ce que je n’avais encore trouvé dans aucun cours pour devenir thérapeute. Il y a eu une décision du juge et j’ai été autorisé à revoir mon fils. Je me suis senti apaisé et j’ai décidé de commencer à vivre. »

Trouver sa voie n’est pas tant une question d’illumination que de cheminement.

Bart De Coninck

Et à partir de là, tout s’est aligné pour Bart, qui a rencontré Carola Castillo, la fondatrice de la « Reconstructive Integrative Holistic School ». La manière transpersonnelle dont elle voit le conseil psychologique et le développement personnel résonne avec tout ce qu’il a toujours recherché. Bart devient son apprenti, ouvre le département belge de l’école Reconstructive quelques années plus tard, bouleverse le monde de la thérapie belge et mène, depuis, une brillante carrière dans ce domaine, avec Job à ses côtés.

« Sans le processus de recherche préliminaire, je n’y serais pas arrivé, explique-t-il. Il faut d’abord se remettre en question complètement pour parvenir à faire le point, toujours dans le respect bien sûr. Cela prend du temps. Trouver sa voie dans la vie n’est pas tant une question d’illumination que de croissance, de cheminement… C’est tout un art d’apprendre à gérer les crises de manière mûre et consciente. C’est à partir de ce mouvement que l’on peut devenir lucide sur son propre potentiel et se mettre au travail. La vie ne nous apportera jamais ce que l’on attend, mais les chemins que l’on peut emprunter sont innombrables et parsemés de surprises, bonnes ou mauvaises. C’est à nous de nous y ouvrir et de les embrasser. »

Guy Mouchaert, Agriculteur bio et entrepreneur

Voici plusieurs années, Guy Mouchaert et son épouse, Leen, ont acheté et rénové une ancienne ferme, sans utiliser alors le terrain agricole adjacent. C’est comme si tout était écrit, déjà à ce moment-là. Mais dans l’esprit de notre homme, ce n’était pas encore si clair… Pendant deux décennies, il travaille dans le monde de l’entrepreneuriat, avec succès. Il fonde sa propre société à Bruxelles, gagne bien sa vie et développe un vaste réseau professionnel.

Guy Mouchaert
Guy Mouchaert© MAROESJKA LAVIGNE

« Soudain, j’ai eu la sensation que je m’étais perdu, se rappelle Guy. Les valeurs que j’avais développées pendant toutes ces années ne correspondaient plus à ce que j’étais devenu. J’étais comme coincé dans un rôle que je jouais. Un jour, alors que je cueillais des cerises dans mon jardin, je me suis dit: « Il est temps. » Et peu après, j’ai quitté ma propre boîte pour suivre une formation d’agriculteur biologique. J’ai fait un stage et j’ai commencé à travailler la terre autour de ma maison, que j’avais louée pendant tout ce temps à un ami agriculteur. J’avais déjà la fibre entrepreneuriale dans le sang. Le fait d’y associer mes connaissances croissantes en agriculture biologique sonnait comme une révélation. »

Mais avant de se lancer, il élabore un business plan, examine la faisabilité financière et pratique du projet, s’informe dans autant de domaines que possible et développe un réseau au sein duquel il recueille une multitude d’informations. Les grandes étapes sont clairement définies. « Et pourtant, je devais être ouvert à l’inconnu », explique Guy. Tout comme le reste de la famille… Ses enfants ont soudain vu leur père plonger ses mains dans la terre et cette vision ne les enchantait guère. Peut-être cernaient-ils déjà que leur paternel risquait de franchir ses limites… Ce qui s’est effectivement produit, son corps ne pouvant supporter davantage de labeur physique. Heureusement Guy a récupéré, a ajusté ses plans et continué à cultiver.

Dès que j’ai commencé à travailler dans la ferme, les valeurs ancrées au plus profond de moi ont refait surface.

Guy Mouchaert

Aujourd’hui, un arc-en-ciel de fruits et légumes illumine la parcelle de terre de l’agriculteur, qui a attendu si longtemps pour être labourée. « Pendant des années, je n’étais pas prêt à voir ce qui me convenait vraiment en tant qu’être humain. C’est tout un processus d’accepter qu’il existe une autre voie que celle que vous suivez machinalement depuis des années. Dès que j’ai commencé à travailler dans la ferme, les valeurs ancrées au plus profond de moi – intégrité, honnêteté et authenticité – ont refait surface, plus fortes que jamais. Ça m’a permis de construire des choses, mais aussi d’oser échouer. Personne ne peut aller de l’avant sans reculer de temps en temps. C’est la vie. Mais si vous savez que tomber vous permet de mieux vous relever, alors, vous tomberez avec plus de plaisir, n’est-ce pas? Parfois, il faut savoir bosser de manière acharnée. Parfois, il faut savoir renoncer. Si vous refusez cela, ne vous plaignez pas de la tournure que prend votre vie. Avancez, tout ira bien, tant que vous restez en phase avec qui vous êtes réellement. »

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