Trois choses à savoir sur Loïc Prigent, franc-twitteur du monde de la mode

(montage Arte/Twitter) © capture d'écran

Pendant toute la Fashion Week parisienne, Catherine Deneuve lira les tweets hilarants de Loïc Prigent sur Arte. Ces maximes de la mode presque trop belles pour être vraies seront bientôt éditées chez Grasset. Trois choses à savoir sur l’un des journalistes les mieux introduits backstage.

Loïc Prigent sait se faire oublier

Avant de se faire connaître pour ses tweets mordants qui taillent un costard à tout le milieu de la mode, il s’y est infiltré caméra au poing pour filmer tous ces petits instants anodins mais pourtant révélateurs qui agitent les coulisses les heures qui précèdent les défilés. Sa série Le jour d’avant l’a emmené entre autres depuis 2008 dans les pas de Donatella Versace, Jean Paul Gaultier, Nathalie Rykiel et même Karl Lagerfeld pour Fendi. En 2013, le créateur allemand l’a même laissé lui tirer le portrait. Dans ses documentaires déjà, les petites phrases fusaient, preuve qu’il savait inspirer la confiance et encourager ses interlocuteurs à se lâcher.

Loïc Prigent n’est pas une balance

S’il est toujours invité partout en dépit de tout ce qui sort sur son compte twitter, c’est qu’à de rares exceptions près, on ne sait jamais de quelle grande maison parlent ceux et celles dont il « vole » les petites phrases – souvent retravaillées, comme il l’admet lui-même, pour entrer dans le format des 140 caractères de twitter – et qu’il protège aussi ses sources parmi lesquelles on retrouve les créateurs et rédactrices de mode bien sûr mais aussi les maquilleurs, coiffeurs, chauffeurs, mannequins mais surtout toute la faune colorée et excentrique qui se presse à l’entrée et à la sortie des défilés.

Loïc Prigent aime profondément la mode

Certes il cherche à faire rire aux dépens d’un milieu qui pèche souvent par ses excès mais il y a aussi de la tendresse dans ce qu’il écrit, c’est d’ailleurs pour cela que près de 200.000 personnes attendent religieusement ou presque le Prigent du jour. Un succès qui l’a poussé à accepter finalement la proposition de Grasset qui éditera dès le 7 septembre son « best-of » comprenant un bon tiers d’inédits. Vous n’êtes pas familier du genre ? En voici trois exemples, en guise d’avant-goût.

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A lire : J’adore la mode mais c’est tout ce que je déteste de Loïc Prigent aux éditions Grasset dès le 7 septembre.

A voir : Catherine Deneuvelit la mode, sur Arte, du 26 septembre au 7 octobre.

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