Jusqu’à la pointe des temples, on admire les joyaux de l’art khmer© Laurence Bruyère
Belle perspective du sommet d’un temple érigé telle une pyramide© Laurence Bruyère
Avec les années, bons nombre de pillages ont eu lieu© Laurence Bruyère
Les colonnes de l’un des 300 temples du site d’Angkor© Laurence Bruyère
Au premier regard une roche austère et en y prêtant attention des visages apparaissent dans la pierre noircie par le temps© Laurence Bruyère
Le jour se lève sur le site d’Angkor© Laurence Bruyère
Angkor Wat est le temple le plus important du site. Il représente l’aboutissement architectural de l’art Khmer© Laurence Bruyère
L’immensité des plans d’eau résultant d’un système hydraulique ingénieux© Laurence Bruyère
Les vestiges d’une civilisation disparue© Laurence Bruyère
Les immenses galeries d’Angkor Wat© Laurence Bruyère
On comprends mieux pourquoi le temple Ta Prohm a inspiré des lieux de tournage comme « Tomb Raider », « Deux frères » ou « le livre de la jungle »© Laurence Bruyère
L’une des divinités féminines sculptée dans le temple Banteay Srei ou la « Citadelle des femmes »© Laurence Bruyère
Merveilleusement conservées, on admire les dentelles des sculpteurs khmers représentants des motifs inspirés de la nature© Laurence Bruyère
: Les gigantesques bassins, sorte de réservoirs allongés ; des Baray animent la perspective des lieux© LAurence Bruyère
Devant le temple Bayon, quelques sculptures bouddhistes aux sourires énigmatiques© Laurence Bruyère
Au temple Ta Prohm, la nature s’harmonise avec la pierre© Laurence Bruyère
Au milieu de la jungle, un temple dédié aux déesses khmers témoins du passé religieux de la Cité© Laurence Bruyère
Magnifiques ruines d’un temple sous le soleil écrasant du Cambodge© Laurence Bruyère
En face de la terrasse aux éléphants, les tours qui jadis accueillaient les funambules pour divertir le Roi© Laurence Bruyère
Au milieu de la forêt tropicale, s’érigent des temples hallucinants de la capitale du royaume Khmer© Laurence Bruyère
Le jour se lève devant le temple khmer d’Angkor Wat© Laurence Bruyère