Treize zones flamandes candidates pour devenir des parc national ou paysager

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Sur les 23 dossiers qui ont été soumis en septembre de l’année dernière pour la reconnaissance en tant que parc paysager ou parc national de Flandre, 13 ont été sélectionnés pour le prochain tour. Au milieu de l’année 2023, les zones qui seront effectivement reconnues devraient être claires.

Les dossiers soumis l’année dernière ont été examinés par un jury pour voir s’ils remplissaient les conditions.

Par exemple, un parc national doit avoir une superficie minimale de 5 000 hectares, avec possibilité d’extension à 10 000 hectares, avec un accent mis sur la nature et la biodiversité. « Les candidats qui se sont (encore) révélés trop éloignés des conditions de base en termes de développement de la nature, de zone de conservation naturelle effective ou de partenariat n’ont pas été retenus ».

Six des dix candidats à la reconnaissance en tant que parc national en Flandre restent en lice : le parc national existant Hoge Kempen (Limbourg), Bosland (Limbourg), Brabantse Wouden (Brabant flamand), Kalmthoutse Heide (Anvers), Scheldevallei (Anvers/Flandre orientale) et Taxandria (Anvers).

Les treize parcs paysagers possibles ont été réduits à sept : Boerenlandschap Pajottenland (Brabant flamand), Grenzeloos Bocage (Limbourg), Hart van Haspengouw (Limbourg), Kempen-Broek (Limbourg), RivierPark Maasvallei (Limbourg), Ardennes flamandes (Flandre orientale) et Zwinstreek (Flandre occidentale).

Pour un parc paysager, la superficie doit être d’au moins 10.000 hectares et l’accent est mis sur la qualité du paysage et les différentes fonctions du territoire (loisirs, nature, patrimoine, agriculture, habitat, etc.).

Les candidats sélectionnés vont maintenant bénéficier d’un accompagnement et d’un soutien de 100 000 euros pour élaborer un plan directeur et un plan opérationnel.

Au printemps 2023, ces plans seront évalués et les parcs reconnus seront connus à la mi-2023. L’intention est alors de désigner quatre parcs nationaux et trois parcs paysagers.

« Après cette évaluation du jury, il est plus clair que jamais que le potentiel de notre nature, de nos beaux paysages et de notre patrimoine est grand. Nous devons donc les exploiter au maximum », a déclaré la ministre Zuhal Demir dans le communiqué de presse. « Un parc flamand ne prouve pas seulement sa valeur ajoutée en termes de nature et d’environnement, il est aussi un « produit » économiquement rentable et peut être un véritable moteur du développement régional. »

« Les bâtiments, sites et paysages historiques sont des balises reconnaissables dans un environnement en mutation, ils montrent d’où nous venons, qui nous sommes et quelle évolution nous vivons », a déclaré pour sa part le ministre Diependaele. « Les fortes candidatures au titre de parc paysager sont la garantie que l’histoire d’un village, d’une ville, d’une nation continuera à être racontée à l’avenir. »

Le jury pour les parcs nationaux était présidé par l’économiste Geert Noels, celui pour les parcs paysagers par Sylvie Van Damme, chercheuse en aménagement paysager aux collèges HOGent et HOWest. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

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