Mauvaises bonnes résolutions

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Si vous n’arrivez pas à respecter le pacte que vous vous êtes fait à vous-même, expliquent les praticiens de l’Institute of NeuroCognitivism (INC), c’est que vous n’avez pas clairement identifié les besoins à la base de cet auto-engagement…

Si vous n’arrivez pas à respecter le pacte que vous vous êtes fait à vous-même, expliquent les praticiens de l’Institute of NeuroCognitivism (INC), c’est que vous n’avez pas clairement identifié les besoins à la base de cet auto-engagement. Car seules les motivations primaires, celles qui se sont forgées dans notre toute petite enfance, qui se traduisent notamment par l’adhésion à certaines valeurs, sont le gage d’une mutation durable.  » Parce qu’elles renvoient à la notion de plaisir en soi et ne sont liées ni à un quelconque résultat ni à la reconnaissance des tiers. Elles restent donc stables tout au long de notre vie et les mobiliser permet de nous ressourcer et de nous épanouir « , analyse Chantal Vander Vorst, Managing Director de l’INC (1).

Et d’exemplifier par les très classiques velléités sportives de l’an neuf : si c’est pour se donner une image positive de soi alors qu’au fond on n’aime pas l’effort physique, autant économiser le prix de l’abonnement à la salle de muscu où l’on ne mettra plus les pieds à partir de février. Et réajuster ses prétentions en se disant que prendre l’escalier plutôt que l’ascenseur ou faire ses courses à pied serait déjà pas si mal.  » Bref, modifier ce que l’on peut pour satisfaire à la fois son envie de changement et inscrire ce nouveau comportement dans la durée « , poursuit-elle.

Delphine Kindermans, rédactrice en chef

www.neurocognitivism.be

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