3 QUESTIONS À Christophe Coppens

Créateur d’une nouvelle ligne d’accessoires pour JBC

Vous signez une collection d’accessoires CC for JBC, c’est une première. Et pour les enfants, une autre première…
Oui, c’est nouveau pour moi. En réalité, cela faisait des années que j’avais envie de créer pour un plus grand public, des gens comme vous et moi. J’ai choisi des pièces indispensables, de vraies pièces pour de vraies gens. Il ne faut pas toujours tout réinventer, cela ne sert à rien de faire une écharpe avec des floches de deux mètres…

Qu’avez vous appris en travaillant avec JBC ?
Que cela existe de pouvoir travailler dans de bonnes circonstances. Je n’avais jamais collaboré avec une grande maison. Dès ma première collection, cela a toujours été pour du vrai, avec des vraies banques et de vrais soucis… Je n’ai fait aucune concession, les écharpes sont en laine, pas en synthétique, et l’été prochain, pour la troisième capsule (il y en aura une pour les fêtes dès novembre), la soie est 100 % soie.

« Vita possède 40 ours en peluche », « Jona rêve de devenir boxeur », « Seb est un chevalier »… Ce sont les légendes des photos. C’est poétique et théâtral, tout ça non ?
Cela fait juste référence au jeu, à l’enfance, à ce que l’on a envie alors – des déguisements, du plaisir. Je sais que quand une mère achète pour ses enfants, cela doit être pratique, avoir un bon rapport qualité-prix, être ceci ou cela. Moi, je rêvais juste d’accessoires que les enfants aient envie de porter. Je voulais presque que ce soit comme des jouets, des gadgets… Que l’enfant ne s’entende plus dire « mets ton écharpe, enfile ton bonnet, où sont tes gants ? » mais qu’il soit déjà en train de jouer avec sa panoplie. Un peu comme des Playmobil®, mais en accessoires !

Anne-Françoise Moyson

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