Katie Holmes contre Heidi Klum: la fin des enfants fashion victimes?

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Retour à un look de « petite fille normale » pour Suri Cruise depuis que Katie en a la garde, et « être cool » à tout prix pour les enfants d’Heidi Klum: à partir de quel âges les enfants peuvent-ils s’intéresser à la mode?

Katie Holmes vient de donner des directives très claires: tous les vêtements de designer généreusement envoyés pour sa fille Suri doivent être réexpédiés immédiatement. Plus de robes de créateurs, de chaussures à talons, de sacs de marques ou de rouge à lèvres pour la petite fille. L’actrice voudrait qu’elle ressemble à « une petite fille normale » et non à une starlette en mal d’enfance.

De l’autre côté, on a Heidi Klum, mannequin ayant brillament réussi sa reconversion (et son divorce du chanteur Seal) en dirigeant de main de maître la série Project Runway, qui parle de… mode. Elle vient d’expliquer que la première règle dans sa maison est d’avoir l’air « cool ». Et que ses kids passent des heures à changer de tenue plusieurs fois par jour à cette fin.

Dans un milieu où les fashionistas sont de plus en plus jeunes (Harper Beckham, du haut de ses un an, a été élue personnalité influente de la mode), quelle est la limite à ne pas franchir? Si Angelina Jolie s’en sort avec du rouge à lèvres sur sa fille Vivienne, beaucoup de monde a tiqué sur les talons de Suri, à l’époque où son père lui passait tous ses caprices.

La réponse se situe certainement quelque part entre les deux, mais peut-être que le débat doit se poser sur le thème du jeu. Des tenues fashion portées pour s’amuser et sans aucune notion d’influence reste un jouet, peu importe l’âge. Tandis que des vêtements de designers portés pour impressionner son monde auront un arrière-goût déplacé, même sur un enfant plus âgé.

Qu’en pensez-vous? Est-ce que vos enfants sont des fashion victimes?

VS.

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