L’ex-compagne d’Igor Bogdanoff : « Il n’a pas su que son frère était mort » (vidéo)

Amélie de Bourbon-Parme, l’ancienne compagne d’Igor Bogdanoff, a rendu un vibrant hommage aux jumeaux récemment décédés.

Amélie de Bourbon-Parme était l’une des femmes de la vie d’Igor Bogdanoff. Ils ont été ensemble pendant près de 20 ans et elle est la mère de deux de ses fils, Alexandre et Constantin. Sur le plateau de BFMTV, elle est revenue ce 5 janvier sur les événements de ces dernières semaines.

« C’est irréel et extrêmement brutal ! Ils sont tombés malades autour du 15 décembre, un petit peu avant. Ils sont arrivés à l’hôpital et on n’y croyait pas ! Des êtres aussi uniques et intemporels, on se dit qu’il ne peut rien leur arriver. Malheureusement, les choses se sont dégradées », a-t-elle d’abord confié.

Ensuite, Amélie de Bourbon-Parme a expliqué qu’Igor n’a jamais su que son frère Grichka avait perdu la vie le 28 décembre. « Il ne l’a pas su parce qu’il était déjà dans ce coma artificiel dans lequel les médecins l’avaient mis. Il a su que son frère allait être intubé. Moi, j’étais là quand son frère l’a appelé parce que c’est vraiment un roman jusqu’au bout », a-t-elle expliqué.

Amélie de Bourbon-Parme a dévoilé que les jumeaux étaient restés proches, unis et en contact l’un avec l’autre à l’hôpital. « Grichka appelait son frère. Ils s’appelaient et se donnaient des nouvelles. Ils étaient à quelques chambres d’écart. C’était à la fois tragique et à la fois tellement émouvant. Donc il ne l’a pas su (que son frère était décédé, NDLR) mais je suis persuadée que dans ces choses invisibles et ces liens spirituels, les choses circulent et peut-être qu’il l’a senti, oui », a indiqué l’ancienne compagne d’Igor, décédé le 3 janvier dernier du coronavirus.

Enfin, elle est revenue sur le fait que les jumeaux n’étaient pas vaccinés contre la Covid-19. « Ils n’en faisaient pas du tout un sujet politique. Ils n’essayaient d’évangéliser personne sur ce sujet. C’était vraiment une décision, ou une non-décision très personnelle, qui était liée à leur phobie des médecins et des médicaments », a assuré Amélie de Bourbon-Parme qui voudrait que l’on garde l’image d’hommes passionnés par la science et les découvertes scientifiques.

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